Depuis le coup d’état du Maïdan, entre novembre 2013 et février 2014, marquant le début d’une guerre entièrement voulue par les USA et l’OTAN, peu d'Occidentaux se sont décidés à tenter l’expérience d’aller dans le Donbass. (Du fleuve Don, et de Bass, le bassin). Cette région faisait partie de l’Ukraine avant le 24 février 2022, date de l’opération spéciale lancée par le Président Vladimir Poutine. Peuplée à majorité de Russes, cette contrée n’était pas spécifiquement encline à jouer les républiques séparatistes. Mais c’était sans compter la fourberie des Anglo-Saxons et de l’OTAN. Les provocations se sont multipliées dans le Donbass. Interdiction de parler le russe, interdiction du culte orthodoxe russe, et mépris viscéral envers ses habitants. Les bombardements aléatoires ont commencé en 2014 et ne se sont jamais arrêtés.
Cette statue fut construite avec du métal issu de canons pris lors du siège de Sébastopol, pendant la guerre de Crimée (1853-1856). En fait c’était l’évêque Auguste de Morlhon qui avait convaincu Napoléon III, avant la fin du siège, d’offrir les canons si le siège réussissait et que la paix revenait.
Il s’avère que ce que ne voient pas les responsables de l’UE, c’est que le rapprochement USA Russie est certes porté par des considérations géopolitiques et économiques, mais aussi par une proximité religieuse. Les orthodoxes sont des chrétiens, ils font même preuve d’une tradition bien plus solide que d’autres obédiences. Et cela parle à des personnalités comme Trump, Vance ou encore la majeure partie du Congrès américain.
Le journaliste dénonce notamment des projets de lois qui visent à « mettre au pas les réseaux sociaux contre les soi-disantes "fake news" ». Selon lui, le pire est la fermeture d’une vingtaine de comptes Telegram Russe. Doit-on mettre sur le même plan la censure d’un média tel que CNews et la censure des réseaux sociaux ? Autrement dit, doit-on donner autant la parole à des instances journalistiques qu’à des utilisateurs de réseaux sociaux ? Enfin, est-il légitime de se protéger contre les ingérences étrangères ? La problématique soulevée est complexe. Il est important de se poser, de prendre du recul et d’élever le débat pour bien définir ce que nous voulons défendre, les principes auxquels nous voulons rester attaché, sans se prendre dans les filer des menaces réelles qui pèsent sur le pouvoir médiatique contemporain.
Si l'«histoire ne repasse pas les plats», elle ressert souvent des mets au goût très amer. En laissant l'Arménie – ne parlons même pas de l'Artsakh – être chaque jour un peu plus détruite par la Turquie et l'Azerbaïdjan, tablant qu'ainsi, elle lui serait d'autant plus servilement soumise, Vladimir Poutine commet mutatis mutandis la même erreur concédée il y a mille ans par l'empereur byzantin Basile II le Macédonien (976-1025).
En 5 ans, le programme “Sauve une vie” de l’Eglise orthodoxe russe permis de sauver 12 162 enfants de l’avortement. Ce programme réunit désormais 160 spécialistes, dans 98 villes de Russie et Biélorussie: ces spécialistes consultent dans leurs cabinets, les centres périnataux et hôpitaux, et tentent de prévenir les avortements.
La Russie, touchée depuis quelques jours par l’épidémie, a annoncé hier avoir créé un médicament à base de Méfloquine (un médicament anti-paludique, comme l’hydroxy-chloroquine), ainsi qu’un test rapide (la Russie envisage de faire dès demain 100 000 tests par semaine et monter dans les prochains jours à 200 000 tests […]
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