Des guitares dans le sanctuaire, des refrains sucrés à la place du Crux fidelis : sous couvert de modernité, la liturgie s’est faite conviviale et plate, troquant la théologie pour la sociologie. Les cantiques des années 70-90 révèlent moins la ferveur que l’acculturation spirituelle. Il est temps de retrouver, face à ce naufrage esthétique, la grandeur du chant sacré — prière incarnée et école du beau.
D’Aurelio Porfiri, éditeur et écrivain catholique italien, pour le Salon beige: Chaque année, à l’approche du temps de la Pentecôte, il est important de réfléchir à ce que certains appellent la « nouvelle Pentecôte », le Concile Vatican II. Cette expression a été utilisée par Jean XXIII, qui avait convoqué […]
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