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Naissances à venir dans la famille royale

Monseigneur Louis de Bourbon, duc d'Anjou, chef de la Maison de Bourbon, est heureux d'annoncer que son épouse, la duchesse d'Anjou, et lui-même attendent la naissance de jumeaux pour le printemps prochain. Mariés, depuis le 6 novembre 2004, Mgr Louis de Bourbon, duc d'Anjou, aîné des Capétiens, et son épouse la princesse Marie Marguerite sont déjà les heureux parents de S.A.R. la princesse Eugénie de Bourbon, née le 5 mars 2007.

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26 commentaires

  1. Dieu veille,
    Merveilleuse nouvelle, que celle là. Prions pour que ce soit un garçon.
    Un naissance pour le Printemps prochain quand le mariage était en 2004, voila une chose qui au moins ne servira pas les ennemis des Bourbons!
    En plein débat sur l’identité nationale, l’idée que le prétendant au trône soit espagnol montre toute la différence entre l’idéologie républicaine et l’attachement royaliste.
    Espérons cependant que nôtre bon Louis XX éduque ses enfants dans l’amour de notre bon pays.

  2. Je bois à la santé du roi au delà des mers.

  3. Oui, prions pour que ce soit un garçon, sans quoi le second de la maison resterait le roi Juan Carlos. Et entre la France et l’Espagne, je pense que celui-ci n’hésiterait pas longtemps avant de choisir la seconde. La seule chose que je regrette est que Louis XX ne semble pas très attaché à la France et ne semble pas se préoccuper du trône qui l’attend, lui ou ses descendants. Dans ce domaine, les plus crédibles restent les Orléans, mais crédible ne signifie pas légitime.

  4. Je ne résiste pas malgré ce que vous savez …
    Et si ce sont deux jumeaux mâles, qui va constater lequel des deux sortira un doigt de la main le premier ?
    Voilà qui devrait permettre d’actualiser les Lois Fondamentales du Royaume !

  5. Et que prévoit la loi de dévolution du trône si ce sont deux garçons ?

  6. Excellente nouvelle !!!
    On entend fréquemment que chez les jumeaux “médicalement” c’est le dernier sortie qui est présumé l’aîné (hypothèse contestable) néanmoins l’aîné est celui qui est inscrit avec l’heure la plus précoce au registre de l’état civil. (en général quelques minutes avant son “associé”. ).

  7. @Tonio
    Le premier sorti :-) (c’est vrai)

  8. La réponse qui fait autorité vient, dans la tradition, de l’épisode de la naissance de David dans la Bible. Soit le second enfant à sortir.
    Cependant rappelons le, les Lois fondamentales du royaume ne sont pas écrites, c’est la jurisprudence qui les fait, donc … on s’en fout!

  9. A RL.
    Nous sommes tous peinés de cette situation, mais il faut néanmoins reconnaître que le Prince est encore très jeune, sa seule famille étant maintenant sa femme, sa toute petite fille, et sa grand-mère, cette dernière seule ayant de l’expérience. Qu’il ait jusqu’à présent cherché à se solidifier, par une expérience professionnelle d’envergure et par un mariage authentiquement chrétien peut difficilement lui être reproché.
    Mais il est vrai que nous l’attendons tous, que la France a besoin de lui, et que ce besoin se fait de plus en plus pressant…
    Les Orléans ont une situation solidement établie en France depuis longtemps, une famille beaucoup plus secouée par les scandales que par les épreuves. Le Prince Jean ne semble pas inintéressant, mais le seul bien que l’on puisse en attendre, c’est que pour le bien commun et par souci de justice, il renonce aux vaines prétentions de sa famille et prête son concours à son cousin. Si ce prince est vraiment est vraiment chrétien et généreux, comme il semble l’être, si nous prions pour lui et le successeur du trône, tout espoir ne nous est-il pas permis pour la conversion et le redressement de notre patrie ?

  10. Bon.
    Je suis convaincu que la monarchie est le salut.
    Mais je suis perdu. Je ne comprends rien, qui sont les héritiers légitimes? Je ne peux imaginer les Orléans, qui votèrent la mort du roi.
    Je suis perdu.
    Mais, bon, des enfants à naître? Quels qu’ils soient, Hourra!

  11. A Hebe,
    Tout dépend déjà de ce qu’on attend par “héritier légitime”! La prétendue “querelle dynastique” est avant tout un antagonisme entre deux types de monarchie.
    Donc, de deux choses l’une:
    -Soit on restaure la monarchie très-chrétienne, avec ses principes, ses règles et celui qu’elles désignent: l’aîné des Capétiens, Louis de Bourbon.
    -Soit on fonde une autre monarchie, concrètement sous forme de compromis avec les principes modernes, et on peut mettre qui l’on veut à sa tête.
    Il va sans dire de quel côté poussent la cohérence et l’expérience!

  12. Hebe
    Qui sont les héritiers légitimes ?
    Pour faire simple 2 personnes prétendent au trône de France, et derrière il y a deux conceptions.
    L’ainé des Bourbons, dont l’ancêtre a rennoncé sous Louis XIV à la couronne pour lui et sa descendance au bénéfice de la couronne d’Espagne, et Le descendant de Philippe Egalité.
    Derrière duc d’Anjou (Espagne) il y a des catholiques qui pensent que la couronne n’est pas un droit mais un devoir, qu’elle est “de droit divin” et qu’il n’appartient pas à la famille dynaste d’en disposer.
    Derrière Orléans il y a une idée de royauté mais qui ne vient pas de Dieu, à vrai dire il est assez compliqué de voir comment ils justifient leur place, si ce n’est, au regard de l’histoire, par le rôle dans la révolution française et l’appui des francs maçons en particulier la loge du grand orient dont Philippe Egalité a été un maître.
    Alors en définitive aujourd’hui?
    Et bien pour le légitimiste le roi de France est aujourd’hui Louis XX, le duc d’Anjou (Espagne) qui, en droit français n’a pas besoin du sacre pour être roi (le roi est mort, vive le roi => théorie de l’indisponibilité de la couronne).
    Et par rapport au sarcasmes sur l’idée d’avoir un enfant sur le trône, ils montre une confusion. Le roi règne, il ne gouverne pas.
    L’idée forte donc, derrière les légitimistes, c’est un régime de droit divin (le roi est choisi par Dieu) qui laisse une pleine place à l’homme (le roi ne fait que régner).
    En définitive, le royalisme n’est pas le régime parfait qui assure la bonne marche dans le pays, mais il est un régime qui ne nie pas la place de Dieu dans le monde.

  13. Bravo ! ! ! Hourrah ! ! ! Pourvu que ce soient deux garçons ! Après les décès du Prince François de Bourbon (en 1982), du Prince Alphonse de Bourbon (en 1989), du Prince Gonzalve de Bourbon (en 2002), le Prince Louis de Bourbon était le seul prince de la branche ainée de Bourbon (après lui viennent les Bourbons-Espagne, les Bourbons-Séville, les Bourbons-Sicile, les Bourbons-Parme, les Bourbons-Luxembourg, puis enfin “last and least” les Orléans). Deux garçons assureraient donc la continuité des héritiers légaux et légitimes du Prince Henri de Bourbon, Comte de Chambord, petit-fils du Roi Charles X, le denier Roi légitime sacré.
    Tous mes voeux à la famille royale de Bourbon. Longue vie aux capétiens aînés. Vive la France française et chrétienne !

  14. ¡Bienvenidos a los chicos de Luis de Borbón! Y viva España ;-)

  15. @ Hebe: les héritiers légitimes du Trône sont désignés par les lois fondamentales du Royaume, constitution non écrite qui a connu un développement organique et providentiel, depuis le baptême de Clovis jusqu’au XVIIIème siècle. Tous les professeurs de droit en France, qui connaissent la Constitution de l’Ancienne France, vous répondront sans hésiter que l’héritier légitime de la Couronne est l’aîné des Capétiens, à savoir Monseigneur le Duc d’Anjou.
    http://www.vexilla-regis.com/textevr/Les%20lois%20fondamentales%20du%20Royaume%20de%20France.htm

  16. A M. Sicaire.
    J’aimerais rappeler que monarchie de droit divin ne signifie pas d’abord que le roi est choisi par Dieu mais qu’il règne selon la loi divine. Donc il ne peut pas s’opposer a la loi naturelle, donc promouvoir la famille, donc respecter la vie, donc promouvoir la vraie écologie, etc.

  17. Que Dieu bénisse Louis XX et sa famille.
    Vive le Roi !

  18. Voilà une excellente nouvelle.
    Et pourquoi, afin de renouer avec l’histoire (en attendant mieux), notre Roi ne ramènerait-il pas María Margarita à Pau pour y accoucher sur la terre d’Henri IV ?
    Beau symbole NON ?

  19. Hebe et alii :
    oui, depuis 1830 une querelle de légitimité divise les monarchistes français, et même a empêché la restauration au début des années 1870. Oui, cette querelle de succession a longtemps été doublée d’un désaccord sur la nature de la monarchie (que récapitula si on veut la fameuse affaire du drapeau) ; pour faire court : l’orléanisme prétendait accepter l’héritage de 1789, le légitimisme non.
    Mais, après la mort du comte de Chambord (1883), et l’affirmation personnelle du comte de Paris (+ 1894), l’orléanisme dynastique s’est séparé de la tradition politique libérale, en défendant un programme plutôt antiparlementaire. Vers 1900, l’empire que se mit à exercer l’Action Française sur l’opinion royaliste, très majoritairement fidèle aux princes d’Orléans, accentua encore ce virage doctrinal. Enfin, si le dernier comte de Paris défunt se mit durant les années trente en délicatesse avec Maurras, on sait que les opinions de Jean, duc de Vendôme, sont bien plus traditionnelles que concessives à l’esprit de la Révolution, et on ne voit pas qu’il se réclame beaucoup des idéaux maçonniques.
    Bref, l’opposition légitimisme-orléanisme n’est plus ce qu’elle était au milieu du XIXe siècle.
    Précisions (E. Sicaire) : Les Bourbons-Anjou ne sont pas « Espagne », pas plus qu’Henri III ne fut jamais « Pologne », ou Henri IV « Navarre ». Ils sont princes français par succession familiale. Les réputer étrangers ressortit à l’argumentaire orléaniste selon lequel l’accession à un trône extérieur d’un dynaste français prive ipso facto celui-ci et sa descendance de leurs rangs dans la succession de la couronne de France. Cette affirmation n’a jamais fait l’unanimité.

  20. Il semble que certaines prophéties annoncent le retour d’un Grand Monarque, envoyé par Dieu et qui sera un descendant direct de Louis XVII (ce qui tente à prouver que le petit Dauphin n’est pas mort au temple).
    Donc pas la peine de se chamailler sur la légitimité : aucun de ces Monseigneurs ne régnera.

  21. Je me permets de nuancer les propos de L. Chéron, assez justes au demeurant: l’antagonisme orléanisme/légitimisme est toujours aussi vivace, car il se fonde, comme au XIX°s., sur l’antagonisme hétéronomie/autonomie, c’est-à-dire la reconnaissance (ou pas) en théorie ET en pratique du règne de Dieu sur la société.
    Et de ce point de vue, l’orléanisme dynastique rejoint souvent, hier comme aujourd’hui, l’orléanisme politique:
    -qu’on se rappelle que, de 1919 à 1924, l’antiparlementaire Action Française a eu des députés à l’Assemblée Nationale… Et l’on peut jeter un voile pudique sur les résultats du “compromis nationaliste”, les consignes de vote sous la V° République, etc…
    -qu’on n’oublie pas que des mouvements et des prétendants acceptent sans sourciller, en théorie ET/OU en pratique, l’autonomie politique de la Nation, la souveraineté et la représentation nationales, le suffrage universel, etc…
    Toutes choses qui nous viennent directement de la Révolution, et qui ont toujours été contraires à Dieu et au Roi, aux quatre coins du globe.
    Donc l’opposition légitimisme/orléanisme est bien celle de deux monarchies, antagonisme toujours aussi vivace, et toujours aussi fondé.
    Sinon, merci d’avoir rappelé fort à propos que le caractère dynaste est d’abord fondé sur le sang et de ce point de vue, il est important de rappeler que les Orléans ont toute leur place dans l’ordre de succession, mais simplement leur place.
    Les prétendus “vice de pérégrinité” et “loi de nationalité” sont réfutés par tous les spécialistes du droit dynastique (Cf le Que sais-je? N°2107 sur le Légitimisme).

  22. A L.Cheron
    Il va de soi que mon rapide récapitulatif sur les querelles de successions pêche par sa bieveté. La précision Espagne fait appelle au pays de naissance. Pour aider à situer. Après, l’idée de promouvoir telle ou telle nationalité d’un prince n’a tout simplement aucun sens dans un débat royaliste, puisque seuls les liens entre les personnes, les engagements, y ont leur place. Ainsi le roi de France peut être espagnol, juif, khmers, ou autre, tant qu’il est le descendant en ligne direct, il est roi. Ne melons pas des considérations qui relèvent de l’idéologie révolutionnaire si il vous plait. Pour le royaliste la nation c’est le roi, alors pas de questions sur le droit du sol ou du sang ici.
    A kelkin,
    Merci de rappeler la fonction de lieutenant du roi, en effet c’est essentiel. Par ailleurs cela n’exclue pas que Dieu, en donnant ou non un hériter choisisse le roi, c’est en tout cas ce à quoi il est fait allusion dans le traité de Trois qui fait référence pour l’indisponibilité de la couronne et l’impossibilité pour le roi d’y renoncer rendant caduc le traité d’Utrecht.
    Plus important par là même le roi tire sa légitimité, il est lieutenant de Dieu sur terre, il ne l’a pas choisi, comme nous n’avons pas choisi d’obéir au décalogue, comme il ne nous appartient pas de choisir la date de notre mort.
    Enlevez une pierre à l’édifice et il s’écroule.

  23. A L. Chéron,
    Vous écrivez que Jean d’Orléans n’a rien à voir avec sa famille et qu’il est plutôt traditionnel… Je ne connais pas votre âge, mais j’ai personnellement assez vécu pour savoir que c’est l’argument qu’on ressort à chaque génération : le nouvel Orléans, il est très bien, mieux que son père, rien à voir avec les ancêtres, etc… quand les Orléans sont jeunes ils font bonne figure, et tous, ils se font initier dans leur chère franc-maçonnerie (entre la secte et la faction Orléans, c’est une vieille histoire d’amour). De toute façon la question ne se pose même pas, car si nous sommes royalistes, nous sommes fidèles au principe qui veut qu’on ne choisit pas son roi mais qu’on reconnaît celui que les lois fondamentales de succession désigne comme l’héritier. Cet héritier, vous le savez, c’est Louis de Bourbon, l’aîné des capétiens, le Chef de la Maison royale de Bourbon, autrement dit le chef de la Maison de France. C’est un fait biologique et juridique incontestable : il est né avant, c’est l’aîné par les mâles en descendance légitime. Discutez ce principe en faisant appel à des notions de droits étrangers ou révolutionnaires, c’est saper le fondement même de la monarchie, c’est ne plus être royaliste.
    Longue vie au roi très chrétien, à la reine, et au deux princes jumeaux que j’espère être des beaux garçons !

  24. A GM,
    Ces prétendues prophéties, nous les connaissons presque tous, et presque toutes: le “Grand Monarque”, déchargé du péché originel (il ne peut qu’être à la hauteur…) mais apparemment doué d’une baguette magique (il ne peut que réussir…) a autant de vraisemblance et de réalité que le prince charmant des contes de fée…
    C’est du moins en substance ce qu’écrivait le cardinal Billot, éminent théologien, et des plus traditionnels, en 1916 et 1917:
    “Nous devons considérer qu’il y a une certaine économie de la Providence actuelle, dont Dieu, autant que nous pouvons en juger par l’histoire, entend ne pas sortir (…) J’ai crié gare à je ne sais quelle nouvelle forme de millénarisme sur la pente duquel nous mettent ces assurances de triomphe de nos ennemis (…) Enfin nous ne sommes plus des Juifs d’Ancien Testament. Chimères ! Chimères ! »
    « L’Eglise, en canonisant ses saints, ne se porte pas garante de l’origine divine de leurs révélations.(…) Il y a toujours place, en quelque hypothèse que ce soit, pour un mélange inconscient de ce qui vient de l’esprit propre avec ce qui vient de l’esprit de Dieu. » (Lettre du 23 février 1916)
    « Comme il arrive à toutes les époques profondément troublées, du présent que l’on trouve inhabitable on émigre dans l’avenir, et dans un avenir que l’on se plaît à forger le plus fortuné possible. Sur la foi de révélations plus ou moins authentiques, on nous annonce, pour prix de notre retour à Dieu, je ne sais quelle ère de prospérité, qui ressemblerait fort à celle des anciens millénaires ou de leurs modernes succédanés. (…) Et le moindre inconvénient est que, par là, on entretient les fidèles dans des songes creux, qui préparent les déceptions futures. (article dans La Croix du 31 juillet 1917)
    C’est avec ce providentialisme qu’on détourne les fidèles du seul combat politique valable en France. Sous couvert d’une plus grande piété, il conduit à la négation de l’ordre naturel, pourtant expression de la volonté divine, il amène souvent, comme par hasard, au suffrage universel et au nationalisme, et nie en pratique un principe fondamental: LA GRÂCE NE VA PAS CONTRE LA NATURE.
    http://www.viveleroy.fr/article17.html
    Si nous voulons nous en sortir, souvenons-nous qu’on ne rebâtira pas la France chrétienne autrement que Dieu ne l’a bâtie, à savoir par la monarchie très-chrétienne. Et je suis bien aise de voir que les réactions des lecteurs du SB vont dans ce sens.

  25. Je me réjouis beaucoup de cette nouvelle et j’espère que la naissance se passera bien !
    deux garçons, cela serait fantastique pour SAR Louis de Bourbon et sa charmante épouse car cela les renforcerait dans leur combat pour leur légitimité au trone de France.
    En effet, sans descendant mâle, le trone irait à Juan Carlos d’Espagne puis son fils Felipe qui semble particulièrement incapable de quoi que ce soit (et qui est mené par le bout du nez par sa petite femme fatale). En revanche, après eux, le trone ira à la branche Bourbon-Séville (François de Bourbon, actuel duc de Séville)

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