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Démographie

Naissances ou remplacement ?

Naissances ou remplacement ?

Un internaute a réalisé un tableau des naissances comparées entre les deux années où la France a enregistré, après la guerre (39-45), les chiffres les plus éloignés pour les naissances vivantes : 1971 et 2022 :

Au premier janvier 1971, sous la présidence de Georges Pompidou la France comptait : 51.016.234 habitants

Au premier janvier 2022, sous le présidence d’Emmanuel Macron la France comptait : 65.627.454 habitants

En un demi siècle la population a augmenté de 28.6 % alors que les naissances ont diminué de 22,1 %.

Que faut-il conclure ?

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5 commentaires

  1. qu’a comparer 2 anciens de rotschild, le dernier remplaçant est le pire que nous ayons connu

  2. Il y a tout de même un biais : l’allongement de l’espérance de vie.
    Si les gens meurent moins, la population totale augmente, même avec une natalité déclinante.
    Évidemment ça n’empêche pas le grand remplacement d’être une réalité.

  3. Calcul totalement faux évidemment, car on ignore la proportion des Français de souche face aux très nombreuses naissances africaines ou issues de l’immigration maghrébine de première, deuxième ou troisième génération.

  4. “En un demi siècle la population a augmenté de 28.6 % alors que les naissances ont diminué de 22,1 %.
    Que faut-il conclure ?”

    Au sens mathématique ou statistique, on ne peut rien déduire du tout avec si peu de données, à part que la natalité s’est effondrée.

    D’abord car l’évolution de la population est une somme (ou intégrale) d’évolutions dans le temps alors que les naissances ont lieu à un instant donné, et donc même s’il y a un rapport entre les deux, sans connaître l’évolution de la courbe on est à l’aveugle (si les naissances se sont écroulées très tôt cela accrédite l’idée de l’immigration, ce n’est pas la même chose si les naissances se sont écroulées en toute fin de courbe car l’accroissement de la population pourrait tout à fait être dû à une natalité élevée pendant une bonne partie des 50 ans ; en réalité c’est un peu les deux, la natalité ayant fortement chuté au début des années 70 et également à partir de 2022 justement)

    Ensuite, comme relevé par Ousier, car si ces évolutions sont constituées des naissances et des entrées sur le territoire dans un sens (ce qui peut donner une idée des unes par rapport aux autres), elles sont constituées aussi des décès et des sorties dans l’autre sens, ce qui peut avoir un impact important sur les chiffres (avec la génération du baby boom qui commence à atteindre 77 ans, d’ici quelques années le solde naturel pourrait être négatif).

    Il n’empêche que ces chiffres sont plus qu’alarmants et l’observation dans la rue nous donne tout de suite une explication.

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