Dans Valeurs Actuelles, François d’Orcival recense le dernier livre de Philippe Simonnot, qui est décédé très récemment, Le brun et le vert. Quand les nazis étaient écologistes, une page d’histoire oubliée ou méconnue, celle des liens que le nazisme a entretenus avec l’écologie. L’écologisme dont se revendiquait le nazisme reposait sur l’idéalisation d’une nature sauvage mâtinée de darwinisme social, porteuse d’une exaltation de la force et d’une aspiration païenne à la volonté de puissance. Cela souligne le caractère profondément gauchiste du national-socialisme :