"Je suis très hostile à cette mesure. La société que je veux, ce n'est pas une société où les familles ne voient pas leurs enfants, où il y a des caissières à 700 euros qui travaillent le dimanche. C'est un désastre, je n'ai pas envie de cette société où l'argent fait tout".
De même, Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche, s'est opposé à la fin du repos dominical, prônée par Nicolas Sarkozy et François Hollande :
"Je m'oppose absolument et formellement au travail du dimanche qui détruit la vie de famille et se met au service d'un consumérisme aveuglé. Je dénonce cette escalade de trouvailles contre les petits bonheurs simples de la vie des gens simples".
Sylvie
Il faut lancer l’idée d’une pétition nationale contre le travail dominical qui gênerait les familles et les personnes en situation de handicap ou de précarité… Quand on pense que dans le monde du secrétariat, certaines personnes travaillent le soir très tard pour des salaires qui n’en valent plus la peine…
Jean
Tenez, puisque Sarkozy a envie de référenda, pourquoi pas un sur ce sujet ?
Bertrand
il devrait l’être en tant que franc maçon
c’est pour embrouiller les cartes
Raoul
Dupont-Aignan, voici un gars soi-disant anti-Bruxelles (comme Joly qui va en Grèce amusant, non?) qui pompent tous ses thèmes sur le Front National, se situe environ à 1% dans les sondages, est très proche de l’obtention des 500 signatures. En revanche, il refusera de donner des consignes de vote en faveur de Marine Le Pen, la seule anti-mondialiste située entre 20% et 50% selon les sondages officiels (ceux du système) ou officieux (ceux d’internet, encore libres)! La situation est claire, c’est un bon gars du système UMPS, là pour enfumer et diviser les patriotes! Bref, un menteur pur souche.
Rictrude
@Sylvie
Ce fut mon cas pendant plusieurs années : secrétaire officiellement à mi-temps, pour le mirifique salaire d’environ 500 euros, il allait de soi pour mon employeur que je ne devais pas compter mes heures, et je travaillais effectivement 10 à 12 heures par jour, y compris certains samedis et dimanches, évidemment sans aucune rémunération supplémentaire. Il en va ainsi du monde du travail actuel. Les “petits” sont exploités et ne peuvent qu’obtempérer ; ils sont même fermement invités à être reconnaissants qu’on veuille bien les employer…