Digne héritière de Badinter, Nicole Belloubet, aujourd’hui au ministère de la rééductaion, fut garde des Sceaux de 2017 à 2020. Vendredi, Philippe de Villiers rappelait qu’elle a fait libérer 12 000 prisonniers pendant le Covid, alors que les Français étaient confinés. Le taux de criminalité a depuis bondi dans des proportions considérables.
A l’Education nationale, elle est dans la droite ligne de Pap Ndiaye : elle est contre l’autorité, l’uniforme, les cours magistraux… Son intervention le 9 février est symptomatique :
“nous devons trouver la voie vers une organisation flexible des enseignements articulant classe hétérogène et groupe réduit pour répondre aux besoins spécifiques des élèves dans certains apprentissages fondamentaux”. “Ainsi nos élèves pourront bénéficier d’un enseignement ajusté a leur besoin tout en poursuivant les objectifs communs à la classe”. “Nous devons tout faire pour mettre en place un système qui contribue à réduire les inégalités sociales, qui refuse tout tri social et qui n’exclue pas les élèves par l’échec”.
C’est le contraire des positions défendues par Gabriel Attal avec les redoublements, les examens sanction et les voies de garage. Pour casser un fil de fer, il faut le tourner dans un sens, puis dans l’autre et le retourner encore une fois, 2 fois et à la fin il se brise. C’est ce que Macron, ange de la déconstruction, fait pour l’Education nationale…
colcombet
Il existe depuis que la république existe un point non négociable entre la franc maçonnerie et les gouvernement qu’ils soient de gauche ou dits “de droite” et qui veulent se prévaloir du soutien des frangins. Le ministère de l’Education Nationale doit revenir à un radical socialiste franc maçon. Car c’est la façon d’exercer un pouvoir de formatage des enfants à son idéologie laïciste. Le pendant en quelque sorte de ce qu’était l’enseignement diocésain qui se donnait pour mission d’évangéliser dès l’enfance.
La différence entre les deux : les frangins demeurent fidèles à leur idéologie alors que nos évêques ont tout largué.
Gaudete
c’est exactement ce que je voulais dire , ce sont les bons fruits de Vatican II, ils ont fait des évêques je n’ose dire le mot le plus grave c’est que ça continue