Obama fait des pieds et des mains pour obliger les Etats membres de l'ONU à ne plus tenir compte de la définition de la famille dans la Déclaration universelle des droits de l'homme, afin d'y introduire les revendications homosexuelles. Jusqu'à présent, un certain nombre d'Etats ne voulaient rien entendre, dont des Etats africains, mais aujourd'hui, la résistance faiblit à cause des pressions américaines.
"Des délégués du monde entier ont raconté à C-Fam, l’éditeur du Friday Fax, que les diplomates américains au plus haut niveau, ont fait pression sur les capitales et les missions afin qu’elles demandent aux pays d’adoucir leur posture sur le langage de la famille dans les résolutions de l’ONU. Les délégations qui sont incapables de soutenir les droits LGBT, sont souvent priées de s’abstenir et de ne pas se présenter au vote des résolutions. Dans ce cas on leur a demandé de s’abstenir de proposer le langage de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
Même les adversaires acharnés des droits des LGBT semblent prêts à abandonner le langage constant déclarant la famille comme «élément naturel et fondamental de la société.” A exception des fortes déclarations des pays africains.[…]
La reconnaissance des “familles” homosexuelles a encore du chemin à faire, mais si le gouvernement d’Obama réussit son parcours et obtient des états membres de l’ONU qu’ils renoncent à la Déclaration des Droits de l’Homme, il peut ouvrir la voie à une reconnaissance future des relations homosexuelles comme étant une famille, en droit et politique internationale."