On sort les violons et on verse une petite larme…

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5 commentaires

1. 

   borphi 12 décembre 2018, 9 h 03 min

   Le malaise ,c’est la dépense publique toujours plus dispendieuse,
   la sortie de crise c’est une réduction drastique de la dépense publique.
   Pour un retour à une fiscalité sobre et équilibrée…

   Rien dans le discours du président de la république de dimanche n’a été dit en ce sens!

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2. 

   Meltoisan 12 décembre 2018, 9 h 23 min

   Tant que ces personnes serviles, de la politique comme des médias, n’oseront plus NOMMER LES CHOSES, nous resterons sous cette dictature … qui n’ose pas se nommer non plus !

   Tant que les mots islam, islamisme ; musulman … ne seront pas dits et qu’on parlera de radicalisés, on nous mentira.

   Tant qu’on ne dira pas que toutes ces actions violentes sont décrites et recommandées dans les textes de l’Islam et qu’il ne peut y avoir, qu’il n’y aura jamais « d’Islam de France », on nous mentira.

   Pourtant tout est expliqué dans la vidéo au sujet des livres de l’Institut du Monde Arabe, en plein Paris, qu’on trouve dans l’excellent article du SB :

   ——————————
   Rappelons que l’Institut du Monde Arabe regorge des traités classiques de droit musulman codifiant le djihad offensif armé…

   https://youtu.be/B-qaYOD0Ydc

   https://lesalonbeige.fr/christophe-castaner-parle-islam-de-franceau-milieu-des-livres-djihadistes/
   ——————————

   Ne pas nommer les choses, c’est 1984, c’est Fahrenheit 451, c’est interdire tous les mots non conformes pour n’autoriser que les éléments de langage autorisés.

   Dernier exemple en date : Ils ne disent même plus « amalgame » mais « raccourcis » ? Que veut dire « raccourcir » ?

   Alors laissons-leur ces mots d’un mauvais goût. Nous, nous avons Abraracourcix !

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   • 

     Prout 12 décembre 2018, 14 h 40 min

     Abraracourcix ? n’importe quoi. Lui au moins était courageux et défend son village, sa tribu, donc agit en faveur du bien commun. L’inverse de Macron qui n’est ni courageux ni défenseur de son peuple etc

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3. 

   Tonio 12 décembre 2018, 13 h 46 min

   Généreux avec l’argent des autres, le socialisme dans toute sa splendeur…
   “Si les patrons pouvaient vous donner une prime ce serait bien !”

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4. 

   philippe paternot 13 décembre 2018, 10 h 49 min

   et si les banques limitaient leurs agios…
   mais aucune économie de l’état! quant aux dépenses supplémentaires avec ces primes, ces coups de pouce, ce sont bien les pressurisés de contribuables qui payeront ou leurs enfants et petits enfants qui payeront la dette!

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