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L'Eglise : Vie de l'Eglise

Ordo de 1962 : libéralisation reportée

C’est ce qu’affirme Le Figaro de ce matin. Mais si ce projet est effectivement reporté, il n’est pas annulé pour autant. Et son annonce aura au moins permis de faire "sortir du bois" les opposants au Pape. Mais peut-être était-ce le but de cette ‘annonce’ qui n’a en fait jamais été officiellement annoncée…

Michel Janva

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18 commentaires

  1. Une question que je me pose sans en avoir pesé encore toutes les conséquences: Nos Seigneurs les évêques de France (en tout cas une majorité) font pression sur le Saint Père pour ne pas libéraliser le rite tridentin. Un certain nombres de catholiques de France qui ne sont pas du tout d’accord avec leur position donnent au denier de l’Eglise. Et si cette année ils envoyaient directement leur don au Denier de Siant Pierre (http://www.vatican.va/roman_curia/secretariat_state/obolo_spietro/documents/index_fr.htm)
    avec un petit mot gentil d’explication à leur évêque?
    [Dire qu’il s’agit d’une majorité d’évêque est beaucoup dire. Pour le moment, il s’agit surtout d’une minorité bruyante. Rappelons qu’il y a une centaine d’évêques français. MJ]

  2. Les “opposants au Pape” ne sont-ils pas plutôt des opposants à l’idée que vous vous faites des projets du Pape – et du Pape, par la même occasion ?
    Benoît XVI n’a aucunement l’intention de revenir à la messe de Saint Pie V (tout au plus, s’il en a le temps et la mission, lancera-t-il une messe “de Benoît XVI”) ; il n’a aucunement l’intention de revenir sur le concile Vatican II (sur lequel sa réflexion s’appuie régulièrement).
    Benoît XVI n’est pas moderniste, c’est vrai, et c’est heureux. Il a manifestement décidé d’agir avec d’autres méthodes que son précédecesseur contre le modernisme et le progressisme, il a décidé d’essayer d’éviter l’ostracisation des traditionnalistes et d’un rite vénérable de l’Eglise latine, et si Dieu le permet, de permettre à un schisme de disparaître (voire plusieurs, puisqu’il continue la réflexion avec les orthodoxes) mais cela n’en fait pas un “tradi” pour autant.
    Benoît XVI n’est pas français, il célèbre la messe de Paul VI, il ne dira pas aux français que le seul vote digne d’un catholique est le vote le Pen, il vénère son prédécesseur d’heureuse mémoire, il ne porte pas de chasuble boîte à violon (rien ne l’en empêcherait), il croit que Dieu écrit droit avec des lignes courbes, etc.
    Les évêques français ne partagent pas toutes ses positions – dont certaines sont discutables et doivent être discutées, d’ailleurs, c’est là une collégialité que n’exclut pas la primauté de Saint Pierre.
    Le Pape ne les contraindra pas à renier des positions qui n’ont pas à être reniées : il y a eu des saints de droite, des saints pacifistes, des saints de gauche, des saints apolitiques, etc. L’Eglise s’en moque bien, ce qui l’intéresse, c’est leur sainteté.
    L’Eglise n’a jamais été monolithique : elle conserve des Evangiles qui se contredisent, rassemble des hommes tous différents, favorise les coutumes locales et la diversité des opinions politiques, tout en essayant de maintenir l’unité, qui découle de la foi, et doit se manifester dans une sainteté commune.
    Il est probable qu’il y a des évêques qui sont opposés à Benoît XVI. Mais c’est un petit nombre.
    La majorité fera ce qu’il demande, mais ne voudrait pas – à tort ou à raison – qu’il publie des papiers ambiguës, qui causeraient plus de tort que de mal, en ramenant quelques dizaines de milliers de fidèles, et en faisant fuir quelques centaines de milliers d’autres.
    Foutaises, à mon avis, que cette crainte (moins on fait de politique, dans l’Eglise, mieux on se porte et plus on agit). Mais ce n’est que mon avis.
    De là à les affubler du titre d'”opposants au pape”, il y a un pas qu’il serait grotesque de faire.
    L’opposition n’est pas de même nature, qui consiste à exprimer ses craintes face à un papier à venir, voire son hostilité à certaines mesures prises, et d’insulter le pape ou les évêques (ce qui valait au titre du code de 1917 une excommunication) en les traitant d’Antéchrists ou autre, et encore moins d’ordonner des évêques, contre l’avis exprès du pape, quand on est en plus suspens a divinis depuis de très longues années.
    Non que je veuille tout mélanger : je veux simplement faire ressortir des différences de nature, entre actes qui scandalisent les fidèles mais ne sont pas graves, et actes ou paroles, qui manifestent une rupture avec le pape et l’Eglise, qui appellerait elle réellement le titre “d’opposant au pape”.
    Bien cordialement, tout en doutant d’être publié.

  3. BL a une bonne idée, non ? Encore faut-il faire la part entre les évêques qui encouragent, autorisent, tolèrent ou refusent la messe tridentine : il serait selon moi injuste de pénaliser des bergers dignes !

  4. BL, c’est bien simple : vous répondez à une tentative d’intimidation que vous trouvez scandaleuse, par une autre, qui ne vous apparaît pas telle car elle sert vos intérêts (croyez-vous !).
    Parlez à votre évêque d’abord, c’est la moindre des choses. Et après, allez voir au cran au-dessus.
    Commencer par du chantage à l’argent, ce n’est pas poli, et c’est ridicule.

  5. Bien d’accord avec Polemikon, il me semble qu’il s’agit d’évêques inquiets plutôt qu’opposants au pape. Inquiets avec quelques raisons quand on constate les réactions des laîcs qui prennent systématiquement parti pour ou contre, les blancs, les noirs, les bons et les méchants, qui se sentent beaucoup plus compétents que leurs évêques…L’obéissance à un pasteur est féconde en elle même, laissons nos pasteurs discuter sereinement entre eux sans vouloir les classer et les étiqueter, prions pour eux et faisons confiance à la providence et au Saint Esprit.

  6. A mon humble avis, ce n’est pas demain que la messe de St Pie V sera “libérée”
    Il faut espérer et croire en Dieu, oui, au Père Noël, non!
    Benoît XVI n’a jamais été un chaud partisan de la messe de Saint Pie V!
    Il a plutôt une attitude politique en tâtant à droite et à gauche pour sentir les réactions.
    Dans ce domaine, à vouloir ratisser large, on finit souvent par se mettre tout le monde à dos !
    Si on a la foi chevillée au corps, on fait ce qui est bien, juste et nécessaire.
    Les conséquences inévitables sont de l’oeuvre de Dieu!
    Mieux vaut un petit troupeau ayant la Foi, qu’un immense troupeau croyant à tout et a n’importe quoi!
    Pape, que m’importe ce que pensent ou veulent les gens de tout bord, à partir du moment ou ce que je fais est la volonté de Dieu !
    Le reste n’est que diplomatie, politique, compromis et compromissions.
    Ceci dit, Benoît XVI, sait parfaitement que remettre la messe de St Pie V, provoquera un schisme bien plus important que le pseudo schisme de Mgr Lefebvre.
    Il faudra bien qu’un jour quelqu’un le fasse.
    Le plus tôt sera le mieux.
    Les conséquences sont de l’ordre de Dieu, et de la prières des hommes.
    Nous venons de voir que les Hommes ne sont pas prêts à revenir à la messe de St Pie V.
    Aucun révolutionnaire ne la veut !
    Elle est traditionnelle, elle est anti-moderne.
    Cela suffit à la condamner
    Cela me suffit maintenant pour faire mon choix, et tant pis si je ne peux assister au même office que les protestants, j’aurais au moins l’avantage de ne pas me poser de question si je vois un frère protestant communier !

  7. L’Eglise de France, et son épiscopat, sont tétanisés à l’idée de voir revenir les “schismatiques” traditionnalistes du dehors et de devoir laisser partir les hérétiques du dedans dont le schisme mou va apparaître au grand jour et devenir dur.
    Cela détruit 40 ans d’un faux équilibre établi sur une dialectique de délégitimation de la Tradition au nom de la pensée magique conciliaire : il est difficile pour beaucoup de ces conservateurs progressistes d’accepter la remise en cause de leur coup d’état permanent. C’est humain. D’ores et déjà, après tout ce tintamarre, il apparaît que le roi conciliaire est nu : il n’était que pastoral.
    Mais le dernier mot reviendra à la Providence, et donc, catholiquement, à Rome.

  8. à Beaujeux ,
    pardonnez-moi “Beaujeux” mais je souhaiterais voir comme vous “la fécondité” de l’obéissance, voire de l’aveuglement, qui a prévalu depuis quelques décennies vis à vis de la majorité activiste de nos évêques et qui font qu’Eglises et séminaires sont trop souvent vides de sens et de vocations.Je ne puis m’empêcher en vous lisant de penser au pharisianisme décrit dans la Bible.Avez-vous lu la vie de Saint-Charles Borromée que le Saint-Père évoquait hier avec la fermeté requise, cela pourrait vous éclairer sur le degré de violence et de haine qu’a pu atteindre la rébellion de certains évêques aux 16e et 17e siècles.Nous ne sommes pas encore au paradis tout de même et tout le monde il n’est pas nécessairement beau et nécessairement gentil, y compris chez nos évêques qui ne sont pas infaillibles.
    Si ils l’étaient l’Eglise en France ne serait pas dans l’état ou elle se trouve, crispée sur ces incertitudes néo -modernistes tant stériles.Elle serait charitable et cela se saurait au dedans comme au dehors.

  9. A Michel Janva :
    Les “opposants au Pape”, peut-être un peu rapidement qualifiés ainsi lorsqu’il s’agit d’évêques, ne sont en tous cas pas les seuls à être “sortis du bois” comme vous le dîtes. Toute cette excitation autour d’une rumeur a donné l’occasion à certains de rouler des mécaniques d’une manière assez peu évangélique…
    Je rejoins pleinement le commentaire de Polemikon.
    Et bravo néanmoins au Salon Beige pour son travail d’information indépendant.

  10. Sancenay, adoptez un regard évangélique :-) : nos évêques cultivent la spiritualité du désert, et tels Charles de Foucauld ils ne susciteront de vocations qu’après leur mort.
    Pascal, je suis d’accord avec votre analyse, si vous désignez sous le terme “roi conciliaire” la multitude des évêques qui ont suivi l’esprit qu’ils ont voulu y voir, et qui ont fait du pastoral à deux francs trois sous (ce qui représente le montant de la quête après quelques années de solide pastorale “conciliaire”).
    L’Eglise – et le Pape sur lequel elle est fondée – n’a jamais changé d’orientation fondamentale, de Pie XII (ou avant, si vous voulez), à Benoît XVI.

  11. Il est assez clair que les évêques qui se sont élevés contre une possible “libéralisation” du rite St Pie V constituent une minorité bruyante.
    Ce sont les mêmes qui se sont élevés et ont fait sonner le tocsin le soir du 21 avril 2002 (faudra qu’ils trouvent autre chose au soir du 22 avril prochain!).
    Il faudrait de temps en temps leur rappeler que l’Eglise de France n’est plus, et de très loin, le centre de la Chrétienté. Et qu’il n’y a qu’en France qu’on persécute autant les prêtres traditionalistes, ce qui n’est absolument pas le cas en Espagne, en Italie, en Amérique du Sud ou en Afrique.
    Et qui plus est, le problème est vicié à la base: la messe dite selon le rite de St Pie V n’a jamais été abolie, par aucun texte, aucune bulle, pas même Vatican II.
    Elle est au contraire protégée d’anathème contre quiconque le ferait, ce depuis des siècles.
    On juge un arbre à ses fruits; et ce ne sont surement pas ces quelques évèques français hotiles à la Tradition qui offrent le meilleur bilan d’apostolat après 40 ans de modernisme.

  12. à Polemikon,
    pardonnez-moi cher ami , mais ma myopie évangélique me conduit en ces temps de toilettage de notre Sainte Eglise à concentrer ma vue sur les évêques qui s’illustrent soit par leur indifférence, soit par leur manque de respect vis à vis de notre bon Saint-Père, ce qui somme toute revient à peu près au même.
    Toutefois,loin de moi l’idée de penser qu’il ne puisse y avoir de bonnes volontés parmi leur confrères.
    Néanmoins si l’on courre le risque de les comparer à Charles de Foucault, il me semble que celui-ci aurait plutôt eu tendance à combler le désert d’Eglises alors qu’à de notoires exceptions près , nos évêques tendent dangereusement à transformer nos cathédrales en désert.On peut toujours rêver bien sûr que cela s’arrangera dans l’au-delà.
    Ceci dit, à l’impératif près, je vous remercie bien volontiers de votre fraternelle correction qui part certainement d’un sentiment parfaitement charitable.Que l’exemple de Saint Borromée vous guide, ne union de prières.

  13. Personnellement, je suis impressionné par le fait qu’une poignée de catholiques progressistes bordelais ait réussi, en faisant du bruit, à influencer Mgr. Ricard, et par là-même le Pape.
    A nous d’être plus futés ! Demandons aux grands journaux lus par les catholiques de tous bords de faire des reportages sur les tradis, afin qu’ils soient mieux connus, donc mieux aimés. A moins que vous ayez une meilleure idée ?

  14. Mon cher Sancenay, je vous prie de bien vouloir m’excuser, ma boutade n’était pas très claire, et je suis désolé que vous vous soyiez senti visé par un innocent persiflage qui s’adressait à d’autres :
    – j’entendais par “spiritualité du désert” spiritualité qui rend les églises désertes,
    – et mon allusion à Charles de Foucauld doit se comprendre ainsi : à l’instar de nos évêques, il n’a jamais eu de disciple de son vivant, son mode de vie était trop austère. Par contre, à sa mort, comme le grain de blé de l’Evangile, sa spiritualité a suscité la création d’une nombreuse famille. Tout l’espoir est donc permis (sous-entendu, prions pour la mort prochaine de nos pasteurs ou plus exactement pour l’avènement d’une nouvelle génération ;-)
    Je suis d’accord avec vous, nos évêques ne semblent pas tous édifiants, c’est le moins qu’on puisse dire.
    Mais il faut regarder les choses avec une certaine objectivité.
    Leur opposition au pape ne me semble pas (pour ce qui en est aujourd’hui ressorti) effrayante : il s’agit d’une microcrise dans l’histoire d’une Eglise qui a connu une longue succession de schismes et d’hérésies. C’est dommage, cette opposition, ce manque de charité à l’égard de leurs brebis, mais il faut bien dire que celles-ci ne les aiment pas trop non plus… dur d’aimer son ennemi ;-)
    Et puis, je ne pense pas qu’il faille rendre nos évêques responsables de maux, qui ont en général gagné plus largement la société qu’eux – ils suivent l’essentiel des préceptes évangéliques, ils n’ont par exemple pas pris femme ou maîtresse, comme au grand siècle, ils ne sont pas bien malins et ont des idées biscornues ou fâcheusement relativisantes, comme notre époque et nous-mêmes, mais ils maintiennent bon an mal an, un niveau religieux certes très bas, mais bel et bien présent.
    En union de prières

  15. à Polémikon ,
    Je ne pense pas qu’il s’agisse , de quel droit d’ailleurs , de “juger nos évêques”,il y a simplement des constats qui s’imposent aux “guetteurs” que nous sommes sensés être et cela suffit déjà amplement à notre peine.
    Ne sommes nous pas par ailleurs ne fût-ce que par nos oboles, mais également par nos prières, les commanditaires d’une partie des actions de nos évêques ? Il n’est dès lors pas illégitime que nous ayons droit de regard et de commentaire sur leurs résultats, cela me paraît même relever de la plus simple charité écclésiale, étant entendu que celle-ci pour les affaires graves ne doit pas nécessairement confiner à la mièvrerie ou à la sentimentalité .
    Vous parlez par ailleurs d’une “micro-crise” alors que Benoît XVI évoquait hier devant les évêques suisses une “déchristianisation” de l’Europe.On ne peut pas séparer le refus manifeste d’obéissance , mais également d’humilité , de ces évêques français qui sont de par leurs responsabilités nécessairement comptables, pour partie au moins, de cet état de fait déploré par le Saint-Père, quand ils n’en sont pas pour certains idéologiquement et sciemment responsables.Vous dites d’ailleurs vous-même que ces pasteurs seraient “les ennemis ” de leurs “brebis”.
    A-t-on jamais vu un loup garder un troupeau ?
    Ne seriez -vous pas entrain, cher Polémikon, de vous égarer sur le voie de “la réflexion sur une écologie humaine” chère à Mgr Barbarin ?
    Moi,avec ma rustique vision des choses certes, je viens d’apercevoir les loups sortir du bois et je trouve que c’est très bien ainsi.
    Pour rechristianiser la France et l’Europe sans se contenter ” de maintenir un niveau” qui laisse sombrer tant d’âmes, il fallait bien que le Saint-Père sache sur qui il allait pouvoir compter.Ce doit être chose faite à présent.
    Permettez-moi enfin ultimement de vous conseiller la lecture de la vie de Saint-Charles Borromée.Vous constaterez avec effarement jusqu’où les “micro-crises ” peuvent aller chez des évêques préoccupés au premier chef par le pouvoir et les prébendes qui semblent en découler ici et là.
    ps: lorsque vous dites: “Sancenay, adoptez un regard évangélique”, ne dites pas “que votre innocent persiflage s’adressait à d’autres”, sinon, il faudra passer par confesse, mon ami.Union de prières, sans aucun doute.

  16. Réponse à votre PS : l’impératif était ironique, à prendre au second degré.
    Sur le fait de juger ou d’avoir un droit de regard sur le comportement des évêques, les papes ont toujours été clairs : c’est non, les fidèles n’ont en gros qu’à prier pour eux.

  17. La liberté est un principe de vie ecclésiale.
    Cela fait froid dans le dos de voir des responsables anathématiser des siècles de prières, n’est-ce pas un esprit schismatique de procéder ainsi, par refus de communion avec les anciens, dont on a honte ? Et pourquoi donc a-t-on honte des prières immémoriales ?
    Un esprit schismatique aussi par refus de la juste liberté des chrétiens ? Et donc refus de la communion avec ceux qui usent de leur liberté différemment.
    Du passé faisons table rase, ce n’est pas l’esprit chrétien, l’esprit chrétien c’est le progrès (c’est-à-dire l’amélioration) de ce que l’on reçoit, ou plutôt l’amélioration de la perception, l’adaptation aux temps et aux personnes, de la Tradition.
    Bref si les formes anciennes de prières sont adaptées à des populations, pourquoi les leur interdire ?
    L’Eglise n’est pas une secte totalitaire.

  18. à Polémikon ,
    le “Pape de escargots” peut-être qui n’était pas spécialement catholique. Mais en dehors de lui pouvez-vous citer des Papes qui auraient interdit ou limité la charité écclésiale ?
    Si vous ne trouviez pas , ce qui ne me surprendrait pas au demeurant, vous pourriez peut-être relire sur le sujet Saint-Augustin .Il me semble qu’il recommande une charité assez hardie.
    UDP

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