Le subversif Henri Tincq dresse un portrait au vitriol du Cardinal Ratzinger, "bête noire des catholiques libéraux", "figure d’inquisiteur", "détesté par les catholiques progressistes", "auteur des sanctions qui ont frappé les théologiens de la libération"… A croire que ce pseudo-journaliste est déjà en train de camper place Saint-Pierre dans l’attente du Conclave, tremblant de voir le Cardinal Ratzinger succéder à Jean-Paul II.
18h20 : "Panzerkardinal", c’est ainsi que le Cal Ratzinger est appelé par les catholiques progressistes allemands… et par Tincq, qui ne manque décidément jamais une occasion d’associer l’Eglise à l’armée allemande (cf. l’affaire Pie XII).