"Vous avez lu ou entendu comme moi qu’un autre pédophile récidiviste de la même prison [que Francis Evrard], condamné en 1998 à quatorze ans de réclusion criminelle pour le viol d’une collégienne de 11 ans, n’avait finalement pas été libéré le 25 août comme prévu, les gardiens ayant alerté sur son extrême dangerosité et sur son intention proclamée de repasser à l’acte sitôt en liberté. Fort bien. Mais avez-vous eu connaissance de la sanction précise infligée à ce détenu par la Commission d’application des peines ? Trente jours de réduction de peine supprimés : en clair, cela signifie que ce prisonnier, sauf contre-ordre, sortira fin septembre au lieu de fin août ! Décidément, il n’y a pas que les grands pervers qui devraient aller chez le psychiatre…"