À La Seyne-sur-Mer, dans le Var, le patron d'une entreprise d'affichage locale revendique sur un panneau de 4 mètres sur 3 le long d'une route reliant La Seyne-sur-Mer à Six-Fours-les-Plages :
Le catéchisme de l'Eglise catholique laisse ouverte la possibilité par un Etat de recourir à la peine de mort pour le bien commun :
"L’enseignement traditionnel de l’Eglise n’exclut pas, quand l’identité et la responsabilité du coupable sont pleinement vérifiées, le recours à la peine de mort, si celle-ci est l’unique moyen praticable pour protéger efficacement de l’injuste agresseur la vie d’êtres humains."
On dit parfois que les moyens actuels permettent d'éviter le recours à la peine de mort. Mais lorsque l'on voit le manque de moyens de l'Etat pour suivre les personnes fichés S, pour empêcher les évasions de personnes dangereuses, et pour lutter contre la propagande islamiste dans les prisons, on se demande si les moyens actuels sont vraiment en mesure de protéger le bien commun.
Par ailleurs, puisque nous sommes en état de guerre, le CEC précise
"La défense du bien commun exige que l’on mette l’injuste agresseur hors d’état de nuire. A ce titre, les détenteurs légitimes de l’autorité ont le droit de recourir même aux armes pour repousser les agresseurs de la communauté civile confiée à leur responsabilité."
Et ce droit peut aller jusq'à tuer l'agresseur, comme nous l'avons vu la semaine dernier lors de l'assaut à Saint-Denis :
"La défense légitime des personnes et des sociétés n’est pas une exception à l’interdit du meurtre de l’innocent que constitue l’homicide volontaire. "L’action de se défendre peut entraîner un double effet : l’un est la conservation de sa propre vie, l’autre la mort de l’agresseur … L’un seulement est voulu ; l’autre ne l’est pas " (S. Thomas d’A., s. th. 2-2, 64, 7)."
