Un arrêté du ministre des Solidarités et de la “Santé”, paru ce matin au Journal officiel, prévoit d’allonger le délai pour l’absorption de pesticides humains – pardon l’IVG médicamenteuse en novlangue – jusqu’à la septième semaine de grossesse. Le “en même temps” macronien a d’étranges “vertus”: nous faisons mine de nous battre pour sauver le plus possible de vies et les autorités “sanitaires” ne semblent préoccupées que de faire face à la “baisse inquiétante” du nombre d’avortements. Toute la population du pays est confinée (enfin, “toute”, pas vraiment: les Français de papier n’ont pas l’air très dérangés par les mesures gouvernementales…), mais les autorités encouragent à la promiscuité sexuelle. Dans notre “bel aujourd’hui”, nous savons que nous sommes dans un pays développé et pacifié uniquement parce que, malgré le confinement, nous avons “réussi” à maintenir à 220 000 le nombre de bébés avortés annuellement en France. Etrange époque vraiment!
Pendant le confinement, la culture de mort continue
2 commentaires
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Gaudete
il ferait mieux de s’inspirer de l’Apocalypse, ça lui remettrait son cerveau à l’endroit et dire qu’il est le sinistre des solidarités. Il ferait bien de réfléchir à ce qui va lui tomber sur le coin de la figure à sa mort parce que qu’il le veuille ou non ça lui arrivera comme aux autres, mais peut-être est-il abonné à l’enfer
Meltoisan
Extrémistes !
Ceux-là même qui, jour après jour, prêchent la condamnation des extrêmes la mettent eux-mêmes en œuvre en laissant mourir leurs vieux et empêchant le nouveau-né d’être là !
Nous vivons une époque très étrange…
L’affaire Vincent Lambert n’était peut-être qu’un signe annonciateur… ?