Déjà plus de 8 000 signataires pour la pétition mise en ligne hier par l'ADV.
Pétition bioéthique
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Déjà plus de 8 000 signataires pour la pétition mise en ligne hier par l'ADV.
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marie
N’oublions pas non plus la pétition lancé par Stanislas de Larminat qui a déjà recueilli plus de 10000 signataires.
cf post précédent:
10 000 pétitionnaires contre la recherche sur l’embryon
Communiqué reçu ce jour :
“Une certaine idée de la « liberté de la science » s’est infiltrée à l’intérieur du parlement, voulant imposer la recherche embryonnaire aux députés. A la veille du débat sur la bioéthique, un texte a été signé par 10.000 pétitionnaires opposés à laisser la science utiliser l’embryon comme un matériel de laboratoire. Cette pétition, disponible sur internet, sera remise publiquement au Palais Bourbon, le 7 février 2011 vers 11h15.
L M. Michaël LONSDALE, expliquera […] pourquoi il soutient une initiative due à Stanislas de LARMINAT. Cet ingénieur à la retraite présentera la démarche qui l’a conduit, dans un esprit citoyen, à apporter une contribution au débat. […] Un entretien vidéo recueilli en présence de Pascal DUQUENNE, héros du film « le 8ème jour », sera également projeté pendant cette réunion de presse. Dans un «esprit simplement citoyen», l’initiateur de la pétition veut expliquer, «sans a priori religieux, les motifs des pétitionnaires pour lesquels ceux-ci demandent un moratoire sur la recherche embryonnaire, après les 5 ans de dérogations dont elle a bénéficié». Il aborde les fondements de la Dignité, explique les raisons pour lesquelles l’utilité ne peut pas être un principe d’action, pas plus que la «liberté de la science» ne peut être un absolu sans contre pouvoir. Il justifie l’application du principe de précaution à cette cellule qui est un être humain, «parce que ce n’est pas une chose et qu’il n’a jamais donné naissance à un animal». A l’issue de la conférence de presse, une délégation se rendra à l’assemblée nationale pour déposer 570 lettres destinées à chaque parlementaire. Un député recevra en main propre, devant la presse, celle qui lui est destinée. Le moyen de transport utilisé sera à la fois symbolique et discret, montrant qu’une faiblesse de moyen, peut servir une force de conviction : l’embryon ne peut être considéré comme un «matériel de laboratoire».”