L’horreur continue. Des malfaiteurs s’en sont pris à 3 églises de Haute Loire, à Craponne-sur-Arzon, Allègre et Paulhaguet. Ciboires, calices et autres objets précieux ont été dérobés durant la nuit. C’est à Craponne sur Arzon que le préjudice est le plus important. Les voleurs se sont probablement laissés enfermer dans l’église. Ils ont ensuite forcé la porte de la sacristie et ont emporté 7 calices, 5 ciboires, 2 ostensoirs et une fontaine en cuivre. Plus grave, le tabernacle a été ouvert et vidé. Les voleurs ont emporté les hosties. Les hosties consacrées se vendent.
Dans le Puy-de-Dôme, ces trois derniers mois, dix églises ont été pillées. Les autorités religieuses ont porté plainte. Le Cantal a été également été touché.
cathosympa
La multiplication de ces événements n’est pas vraiment bon signe. Voilà de bien mauvaises augures pour les élections et leur suite… Ce n’est pas que Dieu ne soit plus en France, mais la France n’est plus avec Lui ! Mais n’ayons crainte, nous disposons d’une arme redoutable : le chapelet…
senex
Saint Michel est un puissant combattant contre les “puissances et principautés démoniaques” et leurs complices humains qui infestent notre Patrie.”Saint Michel , en notre secours”
zazie
Là, vous me faites vraiment peur : “vendre” des hosties ? A qui, et surtout POUR QUOI FAIRE ? Si ce que je n’ose imaginer s’avère, alors il faut regarder la réalité en face : nous sommes en guerre, car j’ai bien peur que “satan et satanisme” ne soient que les vecteurs utilisés à des fins politiques aussi anti-françaises qu’anti religieuses.
une âme
Le pire c’est que le prêtre de cette paroisse a dit ce matin à la radio que c’était peut-être un sacrilège.
Il faut peut-être lui expliquer que C’EST un sacrilège.
Même les prêtres (certains) ne défendent plus Dieu !
marie laure
Satan répand son régne sur la terre mais il ne sera pas vainqueur,nous le savons la seule arme est le chapelet , la priere, la pénitence l’acceptation des epreuves en rémission pour nos péchés et les péchés des hommes
paulo
A l'”âme” qui s’est exprimée juste avant:
dans un bourg rural, le tabernacle fut fracturé il y a quelques années… mais à ce moment-là, une grand-mère entra. Le jeune voyou prit peur et s’enfuit, laissant s’étaler à terre les hosties consacrées.
Les vieux de cette petite ville furent consternés. Ils parlaient de sacrilège et exigeaient une peine exemplaire… ce qu’entendit un journaliste du “papier” proche de l’évêché. Un article fut donc publié: quels extrêmistes ces vieux! La peine de mort pendant qu’ils y sont! L’affaire se réduisait à un vol manqué d’objet en or. Comme le ciboire avait roulé à terre, l’Eglise n’avait perdu aucun bien matériel.
Le journaliste, sans doute par ignorance (que révèlent toutes les enquêtes auprès des jeunes… qui grandissent), négligeait le “sacrilège”.
Un livre sur la liturgie au Moyen Age note que le don de l’hostie sur la langue du chrétien agenouillé participa à l’adhésion populaire en la transsubstantiation eucharistique. Inversement, venir se servir pour ne manger que ce bout de pain a des conséquences.
Les prêtres intéressés diront que le Christ avait été trop chosifié dans l’ostensoir. L’honnêteté élémentaire exigerait d’eux qu’ils acceptent d’endosser la responsabilité qui est donc la leur.
En effet, quand vous condamnez untel coupable de sacrilège, il faut moralement qu’il est eu conscience de la gravité de son geste. Or, l’ignorance délibérément choisie par les curés et les catéchistes, et enseignée par eux à grand renfort de coloriages, n’ont pas permis au coupable d’être libre, ni de commettre un sacrilège. Comment y arriver si on ne sait même pas ce que c’est? Pour un tel voleur, seul compte l’or. La condamnation pour sacrilège, c’est au curé qui prêcha l’ignorance du sacré qu’il faut l’appliquer.