Alors que l'agence du médicament (ANSM) a conseillé de limiter les prescriptions des pilules de 3è et 4ème générations en raison d'alertes sur leurs risques thrombo-emboliques, Véronique Séhier, membre du bureau national du Planning familial, s'inquiète (pour la pilule, mais pas pour les femmes) :
"Ce qui nous inquiète, c'est que l'on jette l'opprobre sur toutes les pilules (…) il ne faut pas diaboliser la pilule". "Je ne vois pas l'intérêt de dire qu'elle sera réservée à des spécialistes".
"soit elles sont dangereuses, auquel cas on les retire du marché, soit elles ne sont pas dangereuses et auquel cas, pourquoi fait-on une hiérarchie entre les méthodes de contraception ?". "Et si elles n'ont pas de service médical rendu, pourquoi ont-elles une autorisation de mise sur le marché ?".
Oui : retiront les toutes du marché. De ce marché juteux.
jejomau
Bien sûr qu’il faut porter plainte contre ces mégères !
C.B.
C’est étonnant: on voit plus que rarement la suggestion de développer la parité en ce domaine, et d’encourager ces messieurs à ingurgiter des médicaments qui rendraient leurs ébats sans risques pour leur partenaire.
Le “planning familial” usurpe son nom: c’est au mieux le “planning féminin”.
senex
C’est nouveau la “pilule roulette russe”,la pilule “sans lendemain.”…!