Lu dans Le Monde :
"Douze plaintes devaient être déposées, jeudi 24 janvier, devant le tribunal de grande instance de Bobigny (Seine-Saint-Denis), contre les laboratoires fabriquant des pilules contraceptives de 3e et 4e générations, et contre l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), pour "homicide involontaire" et "atteinte involontaire à l'intégrité de la personne humaine". […]
La douzième plainte émane du père de Théodora, décédée à 17 ans d'une embolie pulmonaire, le 14 octobre 2007, sur le chemin du lycée, deux mois après s'être vu prescrire la pilule Mercilon au Planning familial du centre hospitalier du pays de Gier (Loire). Le 7 juillet 2010, la Commission régionale de conciliation et d'indemnisation (CRCI) du Rhône a admis que ce décès était "directement imputable à la prescription du contraceptif, au-delà de tout doute raisonnable". […]"
Le planning familial devrait aussi être poursuivi.