Partager cet article

France : L'Islam en France / France : Laïcité à la française / France : Politique en France

Piscines réservées aux femmes : pas de problème pour Bayrou

La laïcité cela concerne le catholicisme. Pour les autres, il y a l'allahïcité.

Partager cet article

13 commentaires

  1. Je suis catholique et cela ne me pose pas de problème. Le voyeurisme imposé dans les piscines n’est après tout que très récent (post 1968 ?), et véhicule une certaine idéologie contre-nature qui est l’exposition de son corps sans complexe, comme le faisaient les païens (quoique sans doute pas hommes et femmes confondus). A quand des lieux publics chrétiens ?

  2. Le pire est qu’il est catho pratiquant.
    Et fait un pélerinage familial à Lourdes chaque année : il est vrai qu’il habite aux portes de la cité mariale. Ce doit être pour cette raison qu’il est pour la séparation des hommes et des femmes dans les piscines……..

  3. le même qui etait outré en 2005 qu’on mît les drapeaux de la république en berne à la mort de Jean-Paul II…
    officiellement, il est catholique !

  4. Pour Bayrou
    les mosquées, le halal, les piscines, les prières de rue, l’effondrement de l’enseignement du à l’immigration etc etc tout ça ca ne pose aucun problème !!!
    le seul problème pour lui ce sont les français qui résistent …

  5. Bayrou: “Du flan dans un bas de soie”.
    C’est brillant et lisse, de belle apparence… mais totalement inconsistant!

  6. Ce n’est pas parce qu’ils sont musulmans qu’ils ont toujours tort !
    Les horaires de piscine non mixte, c’est très bien !
    Depuis quand le fait d’être catho nous invite à n’avoir aucun problème a faire du sport avec des femmes en petite tenue ?

  7. Ces politocards qui jouent avec l’avenir de la France pour des voix musulmanes me donnent envie de vomir !

  8. C’est la seule proposition islamique qui soit de bon sens. Les femmes se sentent plus en confiance entre elles, elles n’ont pas honte de leurs défauts et peuvent nager tranquillement sans être perturbées par les moulinets dans l’eau de nos grands “sportifs” masculins.

  9. @ Pierre : et pourquoi pas des plages non mixtes comme il y en a à Tel Aviv ?

  10. etes-vous surs que les femmes puissent pratiquer la natation?
    trève de plaisanteries, et voyons à qui profite le “crime”…, qui grignote notre quotidien, qui tente des avancées qui ressemblent à des reculs
    difficile dans ce cas d’avoir les idées claires, et de défendre sa “civilisation”
    (peut-être pas la meilleure, mais en tout cas celle qui attire le plus de monde…)

  11. Bayrou risque de se facher , car Melenchon vient dans son fief de PAU debaptiser la Place Royale en place de la revolution .(la république des pyrénées de ce jour) quel affront pour son amie ségolène !

  12. @ Pierre-André :
    “Je suis catholique et cela ne me pose pas de problème. Le voyeurisme imposé dans les piscines n’est après tout que très récent (post 1968 ?), et véhicule une certaine idéologie contre-nature qui est l’exposition de son corps sans complexe, comme le faisaient les païens (quoique sans doute pas hommes et femmes confondus). A quand des lieux publics chrétiens ?”
    ***********
    Mais, mon pauvre ami, quel âge avez-vous donc ???
    Pouvez-vous me cîter une seule piscine NON-MIXTE avant 1968 ???
    A ma connaissance, cela n’existait pas. Je suis né en 1952. Je n’ai jamais vu ou connu (à Paris, à Bordeaux, à Reims, à Nantes) de piscines non-mixtes.
    Mes 4 grands-parents étaient tous d’excllents nageurs. Je n’ai jamais entendu dire qu’ils aient connu des piscines non-mixtes…
    Et ils étaient certainement aussi bons catholiques que vous !!!

  13. @Exupéry
    Talleyrand n’est-il pas le prototype du « centriste » ? Girouette qui tourne à tous les vents de l’Histoire; traitre sans vergogne; modèle politique de ceux qui ruinent la France depuis un demi siècle :
    Source : http://omnilogie.fr/O/Talleyrand,_de_la_merde_dans_un_bas_de_soie
    « Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord traversa au cours de sa carrière cinq régimes politiques successifs, ce qui lui vaudra le surnom amplement mérité de « prince de bien au vent ».
    Fils aîné de grande noblesse française déchu de son droit d’aînesse à cause de son pied-bot, l’individu devient évêque d’Autun et est élu député du clergé aux États-Généraux en 1789.
    Il signe la Constitution Française de 1791(1), et propose (et applique) la confiscation des biens du clergé (première incohérence dans l’histoire rocambolesque du personnage).
    Anticipant la Terreur, il s’exile en Angleterre puis retourne en France en 1796, et un an plus tard le voilà déjà nommé ministre des Relations Extérieures du Directoire.
    En 1799, il contribue au coup d’état du 18 brumaire, ce qui le met dans les bonnes grâces de Bonaparte qui le confirme alors dans son rôle de ministre des Affaires Extérieures. Il prend du grade en 1804 et devient grand Chambellan, puis est fait prince de Bénévent (petite principauté prise au Pape ; du beau pour un ancien évêque ! ) en 1806.
    Mais une nouvelle fois, Talleyrand sent qu’il est temps de changer de barque : il est persuadé que la France ne résistera pas au reste de l’Europe coalisée, et particulièrement aux Autrichiens. Il rentre donc en contact secret avec le Tsar et lui conseille de refuser les propositions d’alliance de Napoléon pour se rapprocher plutôt des Autrichiens, tandis qu’il prépare avec Fouché et Murat la succession de Napoléon Ier.
    Apprenant la trahison, Napoléon convoque quelques grands noms du royaume ainsi que Fouché et l’omniprésent Talleyrand. Prenant à parti l’intrigant, l’Empereur craque et finit par l’insulter ouvertement : vous êtes de la merde dans un bas de soie !
    Déchu dès le lendemain de ses fonctions, Talleyrand conserve cependant sa place au Conseil, et traite ouvertement avec l’Autriche.
    En 1814, sentant à nouveau le vent tourner dans la direction qu’il avait prévu, Talleyrand se rapproche des Bourbons. Après la chute de Napoléon, il est donc nommé ministre des Affaires Étrangères (c’est une lubie chez lui) par… Louis XVIII, qui semble lui pardonner.
    Il continue de jongler avec les puissants jusqu’en 1834 où un ras-le-bol généralisé finit par le forcer à démissionner de ses fonctions.
    Les incessants revirements de cette incarnation de l’Ancien Régime traversant cette période violente et mouvementée de l’histoire de France tout en restant dans les hautes sphères du pouvoir agacent évidemment ses contemporains, qui ne sont pas tendres avec le diable boiteux, tel François-René de Chateaubriand :
    Tout à coup une porte s’ouvre : entre silencieusement le vice appuyé sur le bras du crime, M. de Talleyrand marchant soutenu par M. Fouché.
    — Mémoires d’Outre-Tombe »

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services