En mars 2023, Libération défend l’inscription de l’avortement dans la Constitution.
En octobre 2023, Libération s’indigne de l’avortement quand il est sélectif.
Selon Human Right Watch, il manque 85 millions de femmes en Chine et en Inde en raison des avortements sélectifs contre les bébés filles. Au niveau mondial, ce chiffre atteint 150 millions.
Comment peut-on dire ensuite que l’avortement est “une chance pour les femmes” ? Et, si la République met cette “liberté” dans la Constitution, la France sera de facto complice de cela, et ne pourra pas dénoncer les avortements sélectifs considérés comme une “liberté”.
Australe
pour ses promoteurs mettre l’avortement dans la constitution c’est obliger les médecins à le pratiquer, cela supprime de fait la clause de conscience
l’avortement est toujours un acte sélectif, c’est l’enfant que l’on ne veut pas à l’instant T
Hubert
L’élimination quasi systématique des fœtus présumés porteurs de trisomie 21 est une pratique éminemment sélective. Libération s’en émeut-il ?
Montalte
L’avortement est de toute façon indéfendable
F. JACQUEL
En France, l’avortement doit être constitutionnalisé : il accélère la destruction de la population d’origine et participe à son remplacement.
En Chine, l’avortement est criminel : il porte atteinte à la grandeur du Pays et fait de l’ombre à sa grandeur internationale.
Gaudete
et si tous ces partisans de l’avortement avaient été avortés qu’est-ce que nous respirerions mieux dans ce pays et libération n’existerait plus ainsi que d’autres mierdas. Quel avenir radieux
Michel
Pour ce torchon de journalopes au service de la finance apatride, c’est donc : “Tuez-les tous !” … Plus ignoble que le “docteur” Mengele…