"Si ! Les risques d’échec du préservatif ont été identifiés et prouvés scientifiquement !" Une déclaration d’Alain Toulza, président du collectif Oui à la Famille, auteur du Meilleur des mondes sexuels et, sous le pseudonyme de Thomas Montfort, de Sida. Le Vaccin de la vérité. Publié en 1995, Sida. Le vaccin de la vérité a produit des preuves du mensonge associatif et officiel sur le taux de fiabilité du préservatif. Il rassemblait une somme unique de témoignages médicaux, d’enquêtes scientifiques et d’informations techniques de sources diverses et de haut niveau dont les plus importantes ont été soigneusement cachées par les autorités publiques. Parmi ces documents citons particulièrement :
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Une étude de la University of Texas, Medical Branch, effectuée par onze équipes sous l’autorité du professeur Susan Weller et intitulée Meta-analyse de l’efficacité du préservatif dans la réduction de la transmission sexuelle du Virus HIV, indiquait une efficacité globale de 69% sur un an pour 100 rapports dans l’année
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L’éditorial du New England Journal of Medicine du 11.8.1994, qui rendait compte des travaux de la conférence internationale de Yokohama sur le sida (août 1994), a validé l’étude de synthèse du professeur Susan Weller; puis, à propos d’une enquête dite pompeusement multicentrique européenne, menée par le Centre Européen pour la Surveillance Epidémiologique (CESE) du sida (en fait, une équipe de l’Hôpital national de Saint-Maurice), à l’initiative du ministre français de la Santé (M. Douste-Blazy), il traduisit le sentiment que «L’échantillon (des personnes suivies) n’était pas assez large pour écarter la possibilité d’une transmission dans un taux supérieur à 1,5% personnes-années parmi les utilisateurs réguliers du préservatif.»
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Rapporteure des travaux du CESE, le docteur Isabelle de Vincenzi concluait, dans la revue Biofutur de juin 1994 : «Le sexe sans risque (safe sex) exclut tout type de pénétration, avec ou sans préservatif, à la seule exception des relations entre partenaires non infectés et fidèles… Tout type de pénétration sexuelle avec une personne séropositive ou de statut sérologique inconnu comporte un risque potentiel… Des messages de prévention se donnant pour objectif , ne serait-ce qu’implicitement, d’atteindre un risque nul ne correspondent à aucune réalité ni psychologique, ni sociale, ni épidémiologique.»
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Les révélations du chef de la section des Propriétés polymères du Naval Reserch Laboratory (laboratore de recherche de la marine) des USA, C.M. Roland : «La superficie de poréservatifs apparait comme une surface couverte de cratères ayant un diamètre de 15 microns environ et d’une profondeur de 30 microns. Pire même, dans l’optique de la transmission du virus, nous avons découvert des canaux de 5 microns de diamètre, qui traversent la paroi de part en part. En d’autres termles, cela signifie qu’il existe des passages qui établissent un lien de communication entre l’intérieur et l’extérieur du préservatif et dot le diamètre est cinquante fois supérieur à celui du virus HIV.»
Sida. Le vaccin de la vérité (15€) comme Le meilleur des mondes sexuels (25€) peuvent être commandés auprès de l’association Papa, Maman et Nous, 24 rue Louis Blanc, 75010 Paris.
le Roi Sebastien
Pour en finir avec cette histoire nauséabonde, tous ceux qui ont déjà utilisé des préservatifs savent parfaitement que ça peut éclater, ne laissant alors plus aucune protection, ni par rapport aux contaminations par des maladie,ni par rapport à une possible conception non désirée
Nier çà, c’est être malhonnête (ou encore puceau)