Le Planning familial s'élève contre les oppositions à l'enseignement de l'idéologie du gender au lycée :
"La laïcité, valeur de l’école publique, doit garantir à tous l’accès à la connaissance et la possibilité de débattre pour se construire en citoyen libre et responsable.
Développer, comme le prévoit la loi de 2001, "une éducation à la vie affective et sexuelle" de la maternelle à la terminale permet aux jeunes d’aborder sans tabou les représentations de la sexualité et l’orientation sexuelle et les aide à remettre en cause la virilité dominatrice et la féminité soumise."
Au-delà du fait que l'école est d'abord là pour apprendre aux enfants à lire et à écrire, le Planning familial a beau jeu d'évoquer la possibilité de débattre, lui qui refuse de débattre de l'avortement.
l'anarcho
Je remarque que l’on s’en prend maintenant à la fois au Père par le fils dans des pseudos théâtres pour la gauche de salon mais maintenant aux jeunes enfants mâles conditionner à la rééducation par l’idéologie actuelle du gender…
C.B.
La manie de “débattre” (“ateliers philo” menés sans maîtrise, ce qui conduit à admettre toute et son contraire pourvu que ça fasse consensus) dès la maternelle développe, avec la caution du système, l’idée que “c’est votre opinion, moi j’ai la mienne et elle est aussi respectable que la vôtre”, sans jamais aider à comprendre qu’une “opinion”, un “avis”, une “idée” ne vaut qu’autant que les arguments sur lesquelles elle s’appuie sont fondés. Aucun entraînement à se référer aux faits, à des faits attestés et pas seulement à des pseudo-faits fantasmés.
ODE
Bah pourtant moi j’apprends à mon fils à être courtois avec les dames, à être fort mais pas brutal, eh bien? tout le monde trouve ça normal. Tout le monde essaie d’élever ses enfants comme cela. Le bon sens est perceptible chez tous les parents, mais malheureusement les apprentis sorciers du planning familial s’évertuent à défaire ce patient travail fait par la famille. Je ne connais personne qui trouve cela bien de voir son enfant abruti de telles insanités à l’école. Cela se fait avec le consentement d’une infime minorité de la population concernée (càd les parents)