Présent et Liberté politique invitent chacun à la prudence sur cette saga littéraire et cinématographique. Jeanne Smits écrit :
"Le très profond malaise que laisse la série, avec sa complaisance à l’égard de toutes les tricheries et de tous les rejets de l’autorité qui sont le moteur de la progression de son héros, la haine profonde qu’entretient Potter à l’égard de ses ennemis, l’ambiguïté de ses mentors et son propre lien organique avec le mal personnifié par Voldemort, ses effrayantes « messes noires » et la fausse résurrection de Harry qui aboutit au retour à une vie terrestre banale, devraient au moins faire réfléchir ces admirateurs qu’on espère naïfs."
De son côté, Liberté politique souligne :
"Au Vatican, un exorciste de renom, Gabriel Amorth, s’est également élevé contre la saga et les risques d’ordre spirituel auxquels elle expose, dénonçant principalement la présentation potterienne d’une distinction entre magie blanche et magie noire alors même que, dans la réalité, « la distinction n'existe pas parce que la magie est toujours une manifestation du diable »"
Add : on me signale cet ouvrage, que je n'ai pas lu, sur le sujet.