Avec 2 301 000 visiteurs en 2018 (+ 32% en 5 ans) pour un chiffre d’affaires de 112 millions d’euros (+ 77% en 5 ans), le Puy du Fou – qui n’a jamais perçu aucune subvention publique et réinvestit 100% de ses bénéfices – s’est imposé sur le plan mondial comme une véritable référence en matière de spectacles et de parcs.
Quelques mois avant la première représentation d’ « El Sueño de Toledo », le premier spectacle de Puy du Fou España, le parc à thèmes vendéen se tourne vers la Chine. Nicolas De Villiers indique :
« D’ici à 2025, nous espérons inaugurer notre premier spectacle nocturne en Chine. Les 5000 ans d’histoire chinoise, qui mêlent récits vérifiés et légendes populaires, sont un terrain d’études parfait pour nos équipes, qui travaillent avec des historiens chinois ».
Après le succès d’un premier spectacle aux Pays-Bas (2013), en Angleterre (2016), et malgré un échec en Russie imputée à la géopolitique (sanctions de l’Union européenne), l’intérêt des étrangers pour le Puy du Fou est indéniable.
« Nous recevons une candidature chaque semaine de pays qui veulent ouvrir leurs propres parcs. Mais nous voulons rester maîtres dans le choix de nos implantations ».
« D’ici à 2030, nous voulons ouvrir trois nouveaux parcs (comprenant celui d’Espagne et de Chine) ». « Cette ambition mondiale, c’est notre nouvelle stratégie. Nous avons réussi à construire une image solide en France et nous voulons maintenant conquérir le monde ».
En France, le Puy du Fou inaugure son nouveau spectacle le 6 avril sur « Le Premier Royaume ».
Au Vème siècle, en pleine chute de l’Empire Romain, ravagé par les hordes d’Attila, les visiteurs suivront le destin hors du commun de Clovis, roi des Francs. Ils vont revivre les conquêtes de Clovis, mais aussi les doutes de ce grand stratège partagé entre les traditions ancestrales de son peuple et la voie nouvelle qu’il pourrait choisir pour fonder le Premier Royaume.
