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Extrémistes les gilets jaunes ? Non, c’est absolument faux et les services de renseignement territoriaux l’ont admis au grand dam du ministre de l’intérieur Christophe Castaner.
Aux racines de ce mouvement trouve-t-on de « simples » citoyens représentatifs d’une majorité de Français qui est à bout de tout. A bout de son argent, à bout de sa précarité, à bout de sa colère, à bout de son ressentiment, à bout de toutes les humiliations qu’elle subit depuis si longtemps sur l’autel du « progressisme » qui leur amène la pauvreté, la violence, le déclin et l’islamisme.
Ce cocktail explosif imposé par le pseudo « nouveau monde » à la « vieille Europe » au premier rang de laquelle la France se frotte à une ultime volonté de ne pas disparaître dans le chaudron expérimental des migrations unilatérales, des oppressions financiarisées et du « tout est permis » même le pire.
Au-delà des taxes, au-delà des impôts, au-delà de l’incompétence abyssale du gouvernement d’Emmanuel Macron, c’est la somme des humiliations subies depuis tant d’années qui vient toquer à la porte de celui qui, protégé par cent gardes du corps d’élite payés par le peuple, intime à ce dernier de « venir le chercher ».
Bien plus profondément qu’une simple révolte de contribuables mécontents, c’est toute la vision dénationalisée, déculturée et démantelée des « progressistes » pour la France qui est aujourd’hui, 17 novembre, contestée. Fort loin de quelque extrémisme, c’est la France véritable qui dit à la France artificielle, hors-sol et déconnectée qu’il n’est plus possible de poursuivre ainsi la destruction volontaire d’un peuple millénaire.
Qu’Emmanuel Macron comprenne enfin, lui qui ne connaît absolument rien ni n’a jamais vécu ne serait-ce qu’une seconde la réalité de « ceux qui ne sont rien », relèvera du miracle tant l’enfermement psychologique et la prétention idéologique des « progressistes » auto-proclamés dépassent toutes bornes connues.
Aujourd’hui, la France éternelle et majoritaire se rebelle contre la France artificielle et minoritaire.
F. JACQUEL
Cet été, devant ses affidés, JUPITER disait à la plèbe de ceux qui ne sont rien : “Vous n’avez qu’à venir me chercher !”
Aujourd’hui que la plèbe se conforme à ses ordres, JUPITER a dû s’enfermer dans le PC de guerre de l’Élysée après avoir fait sécuriser les rues entourant sa citadelle.
Petit pantin jouant les gros bras dans le style “Retenez-moi ou je fais un malheur !”, il a dû faire de l’huile toute la journée après avoir grignoté une olive au petit déjeuner.
Ça lui a laissé le temps d’apprécier sa nouvelle vaisselle à 500 k€ (soit l’augmentation des taxes sur 2.000.000 l. de gazole depuis le 1er janvier dernier)…
sivolc
C’est bien envoyé. C’est la stricte vérité. Merci à cette journaliste d’avoir si bien exprimé cette réalité explosive. Oui il faut absolument déloger ces adeptes du mondialisme qui ne rêvent que de rejoindre la “superclasse mondiale” en écrasant les peuples qu’ils sont censés diriger. Mais tout est dit – et magnifiquement dit – dans cet article. Vive la France véritable!
Reine Tak
Les gilets jaunes l’ont crié dans toute la France : le peuple en a marre d’être la vache à lait qui finance les zélites,leur train de vie, leurs caprices, leurs dîners fins, leurs maîtresses ou leurs mignons… Mais le président Macrotte, le valet des banques, et ses sbires ,Gaztaner digne successeur de Valls qui gazait les poussettes, et aussi La Buzyn qui se fout comme d’une guigne des malades de la thyroïde, et aussi le petit marquis qui sert de porte parole… Tous ces gens se moquent bien de la France et des Français. Ils se moquent bien des défilés, des barrages, des revendications. Tout cela ne les atteint pas car ça ne touche ni leur portefeuille, ni leurs avantages et ils resteront, droits dans leurs bottes pour spolier encore plus, détruire encore plus. Il faut donc les punir par là où ils pèchent c’est à dire par l’argent. Il y a quelques années déjà, Cantona avait proposé un moyen d’action qui avait fait peur à toute la classe dirigeante laquelle s’était empressée de le traiter d’imbécile lui conseillant de se cantonner au ballon. Cette proposition n’était peut-être pas la meilleure mais il doit bien exister d’autres moyens de se faire entendre. Rien n’est plus versatile que l’opinion publique et si elle soutient aujourd’hui à 70% les gilets jaunes, elle risque fort de changer d’avis si cela dure trop longtemps. Il faut donc changer son fusil d’épaule ou avoir d’autres cordes à son arc. Nous ne manquons pas de gens intelligents capables de trouver ces autres moyens.
Deuslovult
Je pense que, malheureusement, la personne qui a écrit cet article prend ses rêves pour des réalités. L’exégèse de l’événement va bien trop loin et repose sur des présupposés. Une journaliste de gauche y verrait le réveil de la classe ouvrière…
Quand a cette photo, elle date de 2014 lors d’un tout autre autre événement entre la France et la Suisse.
sivolc
Vous êtes difficile à suivre, surtout en l’absence de citation de vos sources. Le vocabulaire que vous employez fait illusion mais l’assemblage des mots est creux. Ce qui est certain c’est que vous êtes démobilisateur en diable! Que cherchez-vous à dire exactement?
Deuslovult
Ce que je veux dire c’est que cette mobilisation, que je soutiens, n’est rien d’autre qu’un ras le bol fiscal. Ce n’est pas le reveil de la France éternelle, quand bien même je le désire tout autant. C’est pour cela que je dis qu’un commentateur de gauche verrait dans cette mobilisation une preuve de la lutte des classes: chacun tend à y voir ce qu’il désire. Pour ce qui est de la photo d’illustration une petite recherche vous éclairera.