L'information est à peine croyable. Encore plus absurde et scandaleuse que l'histoire de notre illuminé du Sud-Ouest, celle de ce jeune garçon britannique est stupéfiante et surtout significative du relativisme et de l'absence du soucis d'éduquer de la part des parents.
Ainsi, le Sun rapporte qu' un jeune garçon de 12 ans se préparerait à recevoir une thérapie hormonale avant d'avoir recours à la chirurgie pour "devenir" une fille. Et ses parents le soutiennent :
"Nous souhaitons le meilleur pour notre enfant. Nous travaillons à ce que le bien-être de notre enfant soit protégé"
L'irresponsabilté de ces parents est terrible… et celle des autorités britanniques criminelle !
RL
Avec des parents pareil, il ne faut pas s’étonner…
V D
Il est tout à fait possible que cette jeune personne ait un souci de génétique au niveau du nombre ou de l’expression des chromosomes sexuels. C’est rare , mais cela arrive; cela pourrait être la cause de ses problèmes psychologiques.
Voici ce que disait le Pr Lejeune à ce sujet (l’artcle est aller chercher sur le site de la Fondation Lejeune sous le titre: Rappel des principes de la génétique
classique et sommaire des principales
questions morales soulevées par les
techniques modernes appliquées au domaine
biomédical
J. Lejeune):
1 – Les anomalies sexuelles.
Des aberrations chromosomiques, (par excès ou par défaut provoquent des stérilités
(syndrome de Turner X, syndrome de Klinefelter XXY), parfois des ambiguïtés
(syndrome XXXXY) et même des hermaphrodismes vrais (sujets porteurs de
testicules et d’ovaires dans les cas de chimères XX / XY).
La constitution XYY (mâles possédant deux Y au lieu d’un s’accompagne d’une
tendance à la délinquance, d’où une responsabilité diminuée, semble -t-il.
Certaines affections géniques peuvent inverser complètement le développement, tels
le testicule féminisant transformant un sujet XY en une femme harmonieusement
développée mais stérile, ou les très rares cas de mâles porteurs de chromosomes
féminins XX.
Enfin divers troubles hormonaux de la mère ou de l’enfant (maladies ou traitements
intempestifs au cours de la grossesse) peuvent viriliser une fille ou féminiser un
garçon.
Les perversions du comportement homosexualité et transvestisme (désir de changer
de sexe) ne s’accompagnent en général d’aucune anomalie décelable, génétique,
anatomique ou biochimique. Il n’est pas exclu toutefois qu’une proportion
vraisemblablement assez faible, de ces sujets souffrent d’une maladie très réelle
encore qu’incomprise actuellement.
2 – Traitements médicaux ou chimiques
Devant une grave ambiguïté sexuelle décelée à la naissance, les critères de jugement
sont extrêmement complexes et requièrent des spécialistes hautement compétents.
Souvent, même si la constitution réelle est de type masculin, le traitement chirurgical
et hormonal visera à la réalisation d’un habitus féminin. En effet ce dernier peut être
obtenu de façon relativement efficace et harmonieuse, alors que la réfection
complète d’organes génitaux masculins reste impossible.
Chez l’enfant très jeune des décisions sages peuvent aboutir à des résultats
relativement bons alors que chez des patients pubères ou adultes, de très grandes
difficultés psychologiques sont à redouter.
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Rappel des principes de la génétique classique et sommaire des principales questio… Page 14 sur 17
http://publications.fondationlejeune.org/article.asp?filename=fjl345.xml 11/09/2009
3 – Les manipulations du sexe
L’efficacité des traitements hormonaux et l’adresse des chirurgiens plastiques
amènent à d’étranges abus, pratiquement inconnus, il y a vingt ans, mais dont la
fréquence s’accroît dangereusement.
L’émasculation avec féminisation est demandée par certains homosexuels atteints de
transvestisme. Certains chirurgiens se prêtent à ces interventions (ablation des
organes virils et invagination du scrotum dans le périnée) jointes à une féminisation
hormonale avec éventuellement injection de substances plastiques dans la glande
mammaire, épilation électrique etc…
Entreprises chez de très jeunes adultes (avant 20 ans) ces manipulations conduisent à
un habitus pseudo-féminin.
Plus rarement le transvestisme conduit certaines femmes à demander l’ablation
chirurgicale de la glande mammaire avec castration, fermeture du périnée et greffe
d’un faux pénis par un lambeau cutané inséré dans la région pubienne.
Dans les deux cas la transformation est dysharmonieuse et incomplète et les
perturbations affectives et sociales sont redoutables. Bien que les troubles
psychologiques aient précédé l’intervention, la mutilation rend presque impossible la
réinsertion sociale des patients. L’évolution vers une prostitution sous diverses
formes est hélas très fréquente.
4 – Implications morales
La très grande efficacité des traitements hormonaux et chirurgicaux confère à la
médecine un pouvoir redoutable et les décisions thérapeutiques soulèvent presque
toujours de graves questions morales.
Surtout, la contagion sociale de l’homosexualité et du transvestisme est
incontestablement renforcée par l’apparence de prouesses techniques des
manipulations du sexe. Alors qu’aucun cas de changement complet n’est possible
(d’un mâle capable de procréer en une femme capable de porter un enfant ou
réciproquement) le public est amené à croire que le choix de l’habitus sexuel peut
être laissé au gré de chacun et que la nature peut être impunément bafouée.
Curieusement, et dans tous les pays, on dénombre parmi les propagandistes les plus
actifs de l’avortement libre et gratuit des associations d’homosexuels, féminins et
masculins.
ewart
même analyse que VD.
il parait impossible , humainement et légalement, qu’un médecin ait pris cette responsabilité sans une indication médicale de type hermaphrodisme, qui est une réalité chromosomique.
Cependant la façon de procéder et la médiatisation sont étonnantes. les parents d’enfants nés avec ces troubles sont généralement discrets là dessus.
on a peut être ici une réalité médicale, et une instrumentalisation de l’affaire…
Magali
“la nature peut être impunément bafouée”
La NATURE celà ne veut rien dire,pour l’homme (l’être humain)tout est “naturel” c’est lui qui décide et il n’a à se plier à rien du tout, surtout pas à des croyances.
Ce qu’il est à même de faire il doit l’essayer et le faire si cela lui apporte un plus.
[Non. La loi naturelle prime. Un homme naît homme et une femme naît femme, il faut un homme et une femme pour faire des enfants et constituer une famille etc… Tout le reste va à l’encontre de la nature et il n’y a pas besoin d’être croyant pour comprendre cela
Philippe Carhon]