Communiqué de Laissez les vivre SOS futures mères :
Interdits médiatiques d’une génération, interdits d’une autre
Quand le diable change de figure
Quand le rappel de l’existence des camps de concentration devient dangereux pour le Nouvel Ordre Mondial
Comment expliquer les évolutions des hystéries médiatiques ? Déjà, de son temps, Blaise Pascal disait : « vérité en-deçà des Pyrénées, erreur au-delà ». Il s’agissait là d’une relativité dans l’espace. Aujourd’hui, c’est dans le temps que cette relativité s’applique. Dans les années 1980-1990, tout l’appareil médiatique a diabolisé le Front National car il s’agissait d’empêcher à tout prix une alliance de toutes les droites, alliance qui aurait pu constituer une véritable force d’opposition à la technocratie européenne et au socialisme. Un mot très choquant, maladroitement prononcé, peut-être provocateur mais qu’importe, va servir, non pas de déclencheur, mais de prétexte à la mise en place d’un cordon sanitaire rigoureusement préparé et, dès lors, méticuleusement appliqué. Le camp de concentration, qui est la honte absolue de l’humanité, la destruction totale de l’être humain était remémorée en permanence dans les médias. Difficile parfois, certains soirs, de ne pas trouver un film évoquant les camps de concentration. Cela a empêché de constituer une opposition crédible tant au socialisme qu’à la droite maastrichtienne. Telle fut l’ambiance dans laquelle baignèrent les enfants nés dans les années 1980. Les plus brillants, qui, auparavant, se tournaient tout naturellement vers la langue de Goethe, se mirent brutalement à déserter cette dernière. Quand les hommes politiques passaient dans les médias, il fallait systématiquement les interroger sur la question. Et, on connaît l’histoire : trente ans d’alliance impossible, de rejet mutuel, d’ostracisme réciproque, le plan a machiavéliquement fonctionné. Quand, en 1982, l’ancien Premier Ministre Raymond Barre avait déclaré qu’il y avait eu aussi des Français innocents dans l’attentat de la rue des Rosiers, le scandale ne dura que deux jours. Mais, pour Jean-Marie Le Pen, c’est toute une carrière qui va rester à jamais entachée d’indignité. Cela était alors utile au Nouvel Ordre Mondial.
Actuellement, au moins deux phénomènes tendent à amoindrir le rappel incessant au camp de concentration :
- Le rappel permanent des marques des déportés peut gêner les projets du Nouvel Ordre Mondial.
- Le nouveau diable à abattre, c’est Trump.
Désormais, la mode du tatouage se développe. Alors, parfait, si cela est tendance, car c’est ce que le laboratoire Gilead uni à Microsoft nous prépare. Déjà, en Indonésie, il faut accepter d’avoir une identification numérique pour recevoir du gaz de ville et, au Bengladesh, les bébés se voient insérer des puces dès la naissance. Parfait, sur une puce, il peut tout y avoir : identité, carnet de vaccination avec bien sûr le nouveau vaccin anti-covid, compte en banque, revenu universel si on est au chômage plus besoin de se promener avec ses papiers sur soi et, en plus, on ne risquera même plus de se faire arracher son sac dans le métro ! Plus d’argent liquide non plus. C’est vraiment parfait.
Je surprends l’autre jour une jeune caissière bien polie, faisant bien honnêtement son travail dans un supermarché « bas coût » d’une petite ville de l’Ouest, avec une énorme série de chiffres marquée sur le bras. Quel âge a-t-elle ? Vingt-cinq ans à peine. Elle est donc trop jeune pour avoir subi le matraquage télévisuel des années 90. Son tatouage n’est pas une fleur, ni un animal mais un numéro et cela n’a pas l’air d’être une date de naissance ou de rencontre, non, cela ressemble juste à un numéro de série. Mais, les numéros, c’était bien cela le lot des déportés. Alors, si les films sur la déportation envahissent moins nos écrans, cela n’est peut-être pas anodin. Le Nouvel Ordre Mondial qui veut instituer un puçage électronique ne tient sans doute plus à rappeler les images de pyjamas rayés, rongés de vermine, qui revenaient des trains avec leur numéro indélébilement tracé sur leur corps. D’ailleurs, il y a bien plus urgent actuellement que de continuer à discréditer une droite nationale qui ne sait même plus très bien où elle va.
Le diable, le personnage à abattre à tout prix, c’est désormais Donald Trump. Contre lui, Soros va multiplier les manipulations. Donald Trump, n’est-ce pas celui qui veut supprimer la cotisation américaine à l’OMS ? Déjà, grâce au refus du gouvernement fédéral de subventionner le Planning Familial, tant sur le territoire états-unien qu’à l’étranger, il est le Président des Etats-Unis qui a sauvé le plus de bébés noirs. L’enjeu planétaire du scrutin des élections présidentielles aux Etats-Unis est crucial.
Plutôt que de remémorer en permanence les camps de concentration, d’essayer de savoir si le gouvernement de Vichy est responsable ou pas des déportations, la pensée dominante s’acharne maintenant à culpabiliser les « mâles blancs » censés être responsables de l’esclavage ; genou à terre pour s’excuser de la mort de Georges Floyd puis d’Adama Traore en France, jusqu’à ce que la vérité éclate enfin sur le caractère multirécidiviste du personnage Traore. Non seulement, la repentance a changé de cible, mais la mémoire des camps de concentration semble diluée. Ce gommage est très inquiétant concernant les intentions du Nouvel Ordre Mondial. S’il est vraiment prévu d’implanter une puce à chaque habitant de la planète, il est logique que tout soit fait pour éclipser la mémoire des camps d’extermination. La Mémoire, l’Histoire, peuvent être si facilement être manipulées. Les livres d’histoire peuvent tout aussi bien minorer la place des camps de concentration, tout comme ils les avaient fortement mentionnés. Au fait, Monsieur Soros, Monsieur Attali, et oui, les chambres à gaz cela a bien existé, même si cela vous dérange de les évoquer en ce moment.
Dans la nuit du 31 juillet au 1er août, l’Assemblée Nationale a voté en seconde lecture, l’aggravation des lois bioéthiques, institution du processus de la R.O.P.A. (réception d’ovocytes par le partenaire), une totale ineptie contre nature qui prévoit une fécondation entre deux femmes et un homme et aux frais de qui ? Devinez ! De la Sécurité Sociale bien sûr ! Fabriquer des chimères, créatures homme-animal est également prévu. Et, pour couronner le tout, l’horreur absolue, l’avortement jusqu’au terme de la grossesse. Ces tissus fœtaux vont contribuer à fabriquer des vaccins et évidemment plus ils sont avancés en âge plus ils sont utiles à l’industrie pharmaceutique. Qu’est-il prévu pour les bébés nés vivants ? Rien n’est précisé. Cet avortement serait très contrôlé, enfin on connaît la rengaine, mais je pense déjà à toutes les mamans victimes de pression qui ne commençaient à respirer qu’une fois que le délai autorisant l’avortement était passé. Nous pouvons encore empêcher une partie de ces mesures d’être adoptées en se mobilisant massivement.
Dans le contexte sanitaire difficile, réservons la date du samedi 10 octobre 2020 pour participer à des manifestations régionales que le collectif Marchons Enfants organise.