Nouvel épisode de la chronique des cinglés.
La cour d’appel de Toulouse a jugé mercredi 9 février qu’un homme, qui se fait passer pour une femme, pouvait être considéré comme la mère de l’enfant conçu avec sa compagne avant son changement de sexe.
L’enfant est né après le changement d’état civil du mari devenu femme. Il était alors impossible d’inscrire la reconnaissance de maternité de ce transgenre, et seule la mère figurait sur l’état civil de l’enfant. Il fallait alors que cette pseudo-femme adopte sa propre fille en tant que mère, ce qu’il a refusé.
La cour a notamment évoqué “l’intérêt supérieur de l’enfant” (sic) et le “droit au respect de la vie privée” pour justifier sa décision.
Gaudete
Au fou, lâchez les chiens
DUPORT
“l’intérêt supérieur de l’enfant” ??
Rétablissons la peine capitale et pendons ces “magistrats” !!!
lavergne21
On s’enfonce dans la bêtise !