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Culture de mort : Idéologie du genre

« Genre » : enfin une avancée pour protéger les mineurs

« Genre » : enfin une avancée pour protéger les mineurs

Les Juristes pour l’enfance estiment que le rapport des sénateurs du groupe Les Républicains sur la transidentification des mineursest un travail de très haute qualité qui ouvre enfin le débat public. Ce rapport est le fruit d’un travail de près d’un an qui a réuni 67 experts français et internationaux, de différentes disciplines (professionnels de santé, associations, intellectuels, enfants, parents, institutions), et d’opinions diverses sur la question de la transidentification. Parmi eux, la directrice scientifique de l’association Juristes pour l’enfance, Olivia Sarton, a apporté son éclairage juridique.

Juristes pour l’Enfance se félicite que les pouvoirs publics prennent conscience du phénomène inquiétant de l’augmentation des questionnements de genre chez les enfants et qu’ils proposent des préconisations qui rejoignent en grande partie les positions défendues depuis longtemps par l’association et notamment :

  • abroger la circulaire Blanquer du 29 septembre 2021 “Pour une meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire”
  • respecter la neutralité de l’Education nationale en utilisant les nom et prénoms figurant à l’état civil, veillant aux contenus des manuels scolaires et en garantissant des espaces non mixtes (toilettes, vestiaires, douches)
  • respecter le Code civil qui réserve le changement de la mention du sexe à l’état-civil aux majeurs, et en conséquence prohiber la transition médicale pour les mineurs, qui constitue un changement de sexe de fait pourtant interdit en droit
  • améliorer l’accompagnement et le suivi des mineurs en questionnement de genre et de leurs familles.

Le Syndicat de la Famille, lanceur d’alerte et avocat des victimes de l’idéologie du genre, et en particulier des enfants, des adolescents et des jeunes, se réjouit du dépôt d’une proposition de loi, ce 19 mars au Sénat, visant à interdire les bloqueurs de puberté ainsi que les hormones et la chirurgie de « réassignation sexuelle » aux mineurs. C’est une très grande avancée : le débat politique et législatif s’ouvre enfin ! Il faut maintenant que cette proposition de loi aille jusqu’au bout du parcours et soit adoptée. Le Syndicat de la Famille poursuit plus que jamais ses actions de plaidoyer !

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