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Cathophobie

Québec : un enseignant retranche “Dieu” d’une chanson d’Edith Piaf

Lu ici (via) :

E"Soucieux de laïcité, un professeur a retiré une phrase de «L’Hymne à l’amour» parce qu’elle contenait le mot «Dieu», ce qui a indisposé plusieurs parents d’élèves. La Commission scolaire de Sorel-Tracy a défendu la décision de l’enseignant.

Les ministres du gouvernement Charest sont outrés de cette décision. «Je suis vraiment en désaccord avec la décision, vraiment franchement! Premièrement, on ne change pas les paroles d’une chanson comme ça. Deuxièmement, au Québec, il n’y a pas d’interdiction de dire le mot Dieu ou Jésus. C’est une chanson qui fait partie du répertoire francophone, il y a plein de chansons québécoises où on parle du bon Dieu», s’est insurgé jeudi la ministre de l’Éducation, Line Beauchamp."

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7 commentaires

  1. On avait déjà annoncé la chose ici dans un des commentaires hier…
    [Merci de réserver les commentaires au sujet du post et d’envoyer vos infos soit par courriel, soit sur cette page :
    http://www.salonbeige.free.fr/contribution/index.php
    MJ]

  2. Le Québec ne se laisse pas faire. Il paraît que le premier nom de Montréal était “Ville Marie”.

  3. Je pense que cet enseignant devrait plutôt écouter du Brassens, une chanson parle de lui : l’âge ne fait rien à l’affaire.

  4. Le monde devient fou !!!
    Faudra-t-il retirer tous les mots en lien avec Dieu et les religions dans toutes les oeuvres littéraires ou musicales ?

  5. J’espère qu’ils vont se dépêcher d’instaurer un nouveau calendrier (An I etc) et supprimer dimanches, Pâques, Noël…

  6. Le nettoyage religieux de tous les textes littéraires a déjà commencé il y a longtemps avec le Cid de Corneille, la Chanson de Roland, etc.
    Et notre clergé se refuse à croire qu’Allah n’est pas l’appellation exotique de notre Dieu. Il faut dire que des chrétiens du Moyen Orient s’obstinent à lui donner ce nom. Et aussi notre clergé pense que l’islam est une religion (qu’il faut respecter en tant que celle) et non une idéologie totalitaire.

  7. Encore un enseignant montrant bien ce qu’il représente aux yeux de beaucoup : la quintessence du crétinisme

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