On sait désormais qui a violé la fillette de 10 ans aux Mureaux. Le coupable a avoué son crime cette nuit. Les faits : jeudi, alors que la fillettre rentrait chez elle après l’école, un homme d’une quarantaine d’année l’avait forcée à monter dans sa voiture en l’aspergeant de gaz lacrymogène, avant de l’emmener dans un terrain vague où il l’avait violée à deux reprises, puis abandonnée en pleine nuit dans un hôtel désaffecté.
Le coupable avait déjà été entendu dans le cadre d’une autre affaire, un enlèvement le 8 octobre 2005 dans une rue des Mureaux : une fillette de 8 ans avait été placée dans un sac de sport avant d’être redéposée au même endroit deux heures plus tard. Faute de preuve, le suspect avait été relâché. Un coupable pas totalement inconnu, donc. Accessoirement, il s’appelle Kamel Tahar Djebar.
Quentin
Comme vous le dites, c’est accessoire. Je me rallie souvent aux jugements du Salon beige en matière de lien de cause à effet entre origine ethnique et trouble à l’ordre public, pour trouver ici l’insinuation un peu grossière… Ne croyez-vous pas que le phénomène migratoire est à la source de bien assez de maux en France pour qu’on lui fasse crédit des actes de pédophilie ?
Anonyme
Qui a violé Charlène ? Un Arabe. Vous voyez, c’est plus court.
Michel Janva
Comme vous l’écrivez, il ne s’agit que d’une insinuation. J’aurai pu aller -beaucoup – plus loin :
1. Si vous me lisez régulièrement, vous aurez remarqué que j’essaie, quand j’arrive à avoir l’information, de noter l’origine des délinquants et criminels. Et l’info paie : dans les trains, le métro, les banlieues, ils sont tous (ou quasi) issus de l’immigration. Cette violence est une conséquence de l’immigration. C’est un fait.
2. Mais là, il s’agit d’un viol (mais les agressions sexuelles sont courantes dans les trains aussi), et j’aurai pu aller très loin dans l’insinuation : qui dit arabe dit, de près ou de loin, musulman. Or qui dit musulman dit Mahomet. Lequel est un pédophile (http://www.coranix.com/biblio/tradition.htm). Sans oublier que le ‘paradis’ de l’islam est peuplé de vierges…
C’est pourquoi je pense qu’on ne peut pas faire crédit de ce type d’acte.
Michel Janva
Pitch
Dans le Figaro de ce matin, on peut lire :
“Par ailleurs, un troisième suspect, M’Hamed D., 30 ans, lui aussi employé à l’usine Renault de Flins-sur-Seine et ami du témoin numéro un, a été remis en liberté hier.” (source : http://www.lefigaro.fr/societe/20060201.FIG0208.html)
Le deuxième suspect étant la compagne de Kamel T.
On reste entre soi, donc…
svenhought
Que vont dire les pleureuses patentées du MRAP et de la LICRA ?
Ce criminel arabe (tout au moins maghrébin) est arrivé en France à l’âge de 21 ou 22 ans, et il a un emploi. Ce n’est donc pas une “victime” des cités, dont les repères ont été brisés par le racisme bien connu des Français.
C’est simplement un homme qui a lu le coran et qui imite son “prophète” criminel, voleur et pédophile, en prenant bien soin de choisir une petite fille bien de chez nous, pas une petite maghrébine, non, cela ne se fait pas. Il a quand même des principes, cet homme !
Sera-t-il expulsé après son procès, ou devrons nous en sus porter le fardeau de la “rééducation” de ce criminel ?
Anonyme
“C’est simplement un homme qui a lu le coran et qui imite son “prophète” criminel, voleur et pédophile, en prenant bien soin de choisir une petite fille bien de chez nous, pas une petite maghrébine, non, cela ne se fait pas. Il a quand même des principes, cet homme !”
Voila tout est dit. C’est dramatique d’en arriver à un tel point.
A méditer vous qui vous prenez pour des martyrs de la foi :
<< L'émigration est un droit naturel La doctrine sociale de l'Eglise reconnaît l'existence d'un droit naturel à l'émigration qui découle du principe de la destination universelle des biens, principe explicité dès 1891 par Léon XIII dans "Rerum Novarum" et que la Constitution "Gaudium et Spes" (69, 1) du Concile Vatican II formule ainsi : "Dieu a destiné la terre et tout ce qu'elle contient à l'usage de tous les hommes et de tous les peuples, en sorte que les biens de la création doivent équitablement affluer entre les mains de tous, selon la règle de la justice, inséparable de la charité". Il en résulte, comme l'écrit Pie XII dans une lettre à l'épiscopat des Etats-Unis d'Amérique (24 décembre 1948) reprise dans la Constitution apostolique "Exsul familia" sur l'assistance spirituelle des émigrants (1er août 1952), que l'émigration ou l'immigration, selon que l'on se place du point de vue du pays d'origine ou du pays d'accueil des migrants, est un véritable droit pour tous ceux que de dures conditions de vie contraignent à s'exiler : "Que pour eux doivent être libres les voies de l'émigration, le droit naturel l'exige, non moins que la pitié envers le genre humain. Le Créateur de l'univers, en effet, a établi toutes choses, en premier, pour l'utilité de tous". Ce droit naturel à l'émigration s'accompagne, pour les immigrés, de la faculté de mener une vie familiale normale. C'est en vertu des "valeurs spirituelles et morales, qui dans l'émigration et l'immigration doivent être sauvées, protégées, développées" que Pie XII en 1951, défendait "la dignité et les droits de la personne humaine et de la famille, pour que celle-ci demeure réunie, qu'elle puisse se créer un nouveau chez soi et y trouver le nécessaire, afin de vivre contente et agréable à Dieu" (6). Ce principe suppose, de la part des pouvoirs publics, la reconnaissance en faveur des immigrés, du droit au "regroupement familial", comme le précisent d'ailleurs l'exhortation apostolique "Familiaris consortio" (22 novembre 1981) qui mentionne "le droit d'émigrer en tant que famille pour rechercher de meilleures conditions de vie" (n°46) et l'article 12 de la "Charte de la famille" élaborée par le Saint-Siège (22 octobre 1983) selon lequel "les travailleurs émigrés ont droit à voir leur famille les rejoindre aussitôt que possible" (7). >>
Anonyme
L’émigration est un droit naturel
La doctrine sociale de l’Eglise reconnaît l’existence d’un droit naturel à l’émigration qui découle du principe de la destination universelle des biens, principe explicité dès 1891 par Léon XIII dans “Rerum Novarum” et que la Constitution “Gaudium et Spes” (69, 1) du Concile Vatican II formule ainsi :
“Dieu a destiné la terre et tout ce qu’elle contient à l’usage de tous les hommes et de tous les peuples, en sorte que les biens de la création doivent équitablement affluer entre les mains de tous, selon la règle de la justice, inséparable de la charité”.
Il en résulte, comme l’écrit Pie XII dans une lettre à l’épiscopat des Etats-Unis d’Amérique (24 décembre 1948) reprise dans la Constitution apostolique “Exsul familia” sur l’assistance spirituelle des émigrants (1er août 1952), que l’émigration ou l’immigration, selon que l’on se place du point de vue du pays d’origine ou du pays d’accueil des migrants, est un véritable droit pour tous ceux que de dures conditions de vie contraignent à s’exiler :
“Que pour eux doivent être libres les voies de l’émigration, le droit naturel l’exige, non moins que la pitié envers le genre humain. Le Créateur de l’univers, en effet, a établi toutes choses, en premier, pour l’utilité de tous”.
Ce droit naturel à l’émigration s’accompagne, pour les immigrés, de la faculté de mener une vie familiale normale.
C’est en vertu des “valeurs spirituelles et morales, qui dans l’émigration et l’immigration doivent être sauvées, protégées, développées” que Pie XII en 1951, défendait “la dignité et les droits de la personne humaine et de la famille, pour que celle-ci demeure réunie, qu’elle puisse se créer un nouveau chez soi et y trouver le nécessaire, afin de vivre contente et agréable à Dieu” (6).
Ce principe suppose, de la part des pouvoirs publics, la reconnaissance en faveur des immigrés, du droit au “regroupement familial”, comme le précisent d’ailleurs l’exhortation apostolique “Familiaris consortio” (22 novembre 1981) qui mentionne “le droit d’émigrer en tant que famille pour rechercher de meilleures conditions de vie” (n°46) et l’article 12 de la “Charte de la famille” élaborée par le Saint-Siège (22 octobre 1983) selon lequel “les travailleurs émigrés ont droit à voir leur famille les rejoindre aussitôt que possible” (7).
Michel Janva
Vous avez oublié le catéchisme de l’Eglise catholique :
“L’immigré est tenu de respecter avec reconnaissance le patrimoine matériel et spirituel de son pays d’accueil, d’obéir à ses lois et de contribuer à ses charges.”
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2005/11/devoirs_de_limm.html
svenhought
On ne peut pas laisser le commentateur anonyme écrire n’importe quoi au sujet de l’immigration, même à partir de citations tronquées de textes pontificaux et d’affirmations péremptoires.
L’Eglise doit être écoutée lorsqu’il s’agit des principes moraux qui inspirent les législation des états concernés, et notamment lorsqu’il s’agit du respect de la dignité des personnes et de la charité qui leur est dûe.
Pour tout le reste, c’est à dire en particulier pour ce qui concerne les limites d’une politique d’immigration, l’Eglise n’a pas à donner son avis car il s’agit de questions qui ressortissent à la souveraineté des états.
Une limitation quantitative de l’immigration n’aurait absolument rien de contraire au dogme catholique.
D’ailleurs l’Eglise s’est toujours bien gardée de prendre position sur ces sujets concrets, conformément à la plus saine doctrine de la distinction du temporel et du spirituel.
Contrairement à ce que semble souhaiter ce commentateur, la théocratie n’est pas catholique.
Olivier
Moi je salue le courage de nos amis du Salon Beige, qui appellent un chat un chat.
Mettons-nous une seconde à la place de cette pauvre petite fillette et imaginez un peu la bestialité de la scène…
Je ne tiens pas à ce que mes enfants connaissent le même sort. Alors ça suffit. on ne se laissera pas égorger sans rien dire parceque les moralistes de la gauche (et de la droite) bourgeoise se la coule douce loin des banlieues et de l’enfer qui s’y propage.
C’est notre devoir d’état de protéger nos enfants et de foutre les assassins et les violeurs hors d’état de nuire; et accessoirement dehors ceux qui en plus viennent chez nous pour violer nos enfants.
F. Carton
Il faut citer entièrement la doctrine sociale de l’Eglise.
C’est ainsi que la Commission “Justice et paix” de la Curie romaine, présidée par le cardinal Etchegaray, affirme dans un document capital sur “L’Eglise face au racisme” (février 1989) :
“Il appartient aux pouvoirs publics, qui ont la charge du bien commun, de déterminer la proportion de réfugiés ou d’immigrés que leur pays peut accueillir compte tenu de ses possibilités d’emploi et de ses perspectives de développement mais aussi de l’urgence du besoin des autres peuples. Et l’Etat veillera à ce que ne se créent pas des situations de déséquilibre social grave, accompagnées de phénomènes sociologiques de rejet (16), comme cela peut arriver lorsqu’une trop forte concentration de personnes d’une autre culture est perçue comme menaçant directement l’identité et les coutumes de la communauté locale d’accueil”.
On notera avec intérêt que les “phénomènes sociologiques de rejet” décrits dans le présent document, échappent à l’accusation infamante et abusive de “racisme”.
florent
Encore un violeur d’importation? Banal. Ce qui est plus inquiétant en revanche, c’est le laxisme grandissant de la justice qui ne condamne pas à plus de cinq ans un viol et vingt ans un meurtre, ainsi que l’engagement grandissant d’évêques catholiques en faveur de l’immigration, alors que ceux-ci devrait soutenir à fond l’action des autorités ( quand celles-ci agissent ).
On peut encore rêver pour l’établissement du droit du sang ou le rétablissement de la peine capitale.
Quentin
Question : Connaît-on la proportion de pédophiles identifiés comme étant musulmans ?
Ebauche de réponse : Le jour où l’on parviendra – et je le souhaite – à juguler l’immigration, je crois qu’il y aura une baisse significative de la délinquance. Pas de la pédophilie, qui trouve, à mon sens, sa source ailleurs que dans la seule origine arabe du criminel.
Florent Le Troplaid du Prevost de Dantzig
@ Florent : “ceux-ci (les évêques) devrait soutenir à fond l’action des autorités” Vous avez une bien curieuse conception de la laicité. Les évêques n’ont pas à soutenir une quelconque politique d’immigration. Leur rôle dans ce domaine est de rappeler aux gouvernants le droit naturel lorqu’ils franchissent les limites (avortement mariage homo…) et d’éclairer les fidèles à la doctrine sociale de l’Eglise. Ce n’est pas de commenter à tout bout de champs chaque décision politique !!
Dantec II
Euh, c’est un peu la même chose? Un tout petit peu quand même! De toutes façons, je ne me base pas sur la laicité ( plutôt le laicardisme cathophobe ) mais bien sur la conception de l’église elle-même qui dit explicitement que les évêques doivent inciter les fidèles à respecter les décisions de l’état pour peu que celles-ci soient bonnes. Même si ce n’est pas assez, les expulsions de clandestins me semblent être le cas.