Mercredi, tandis que le comité d’entreprise de Libération se prononçait contre la suppression d’une centaine d’emplois, plusieurs personnalités du Parti socialiste ont pris la défense du journal et de son ancrage à gauche. Pour Jean-Marc Ayrault, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale :
"La disparition de Libération serait un jour noir pour le mouvement des idées dans notre pays".
Il a souhaité que le premier ministre "se saisisse de l’avenir de Libération". Anne Hidalgo, secrétaire nationale chargée de la culture et des médias au PS, souligne que le projet du parti prévoit "une refonte des aides à la presse, de façon qu’elles aillent en priorité à des journaux réellement indépendants et qui permettent de faire vivre le pluralisme" [faudra-t-il voter socialiste pour aider Présent ?!]. Mme Hidalgo, estime qu’"il y a un vrai problème avec les journaux gratuits" et propose de "réfléchir à un plafonnement des recettes publicitaires de la presse gratuite".
Anonyme
“un jour noir “, “le premier ministre ” Rien que ça ? Et puis quoi encore ? Un jour de deuil (supra)national ?
Une centaine de gauchistes à la rue, c’est toujours ça de pris. En fait, ils sont victimes du système mondialiste et tiers-mondiste qu’ils contribuent à mettre en place, bien fait. Pas chrétien ? Dommage.
“…plafonnement des recettes publicitaires de la presse gratuite” à toujours vouloir tout réguler, maîtriser…
Nono
+ Mme Hidalgo, propose de “réfléchir à un plafonnement des recettes publicitaires de la presse gratuite”. +
Elle a l’intelligence plafonnée ?
maguelone
Qui veut suaver Libé ?
Pas moi, pas moi !
iffy
bonjour,
ne ccomptez pas sur moi!!!!!
henri
Pourquoi croyez-vous que Rothschild soit intervenu si ce n’est pour sauver un organe de presse bien à gauche!
Pour le sauver malgré tout!
Il n’a pas fini de nuire.
Il est protégé par la haute finance apatride!
Eloi
La disparition de Libé me paraît être propre à faire progresser l’intelligence dans ce pays.
A vos chapelets !