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Immigration

Rattrappée par le réel

Rattrappée par le réel

Farouchement opposée à la loi immigration adoptée fin décembre, la Ville de Paris a annoncé ouvrir les portes de l’Hôtel de Ville aux Parisiens ce samedi 27 janvier, de 13h45 à 17 heures.

« En réponse à l’adoption de la loi immigration, la Ville de Paris réaffirme son identité et son attachement aux valeurs d’accueil et d’intégration ».

Elle a organisé un après-midi de débat autour des dispositions de cette loi immigration, qui prévoit également une cérémonie en présence de Parisiens nouvellement naturalisés. Les débats se tenaient en présence des sénateurs Marie-Pierre de la Gontrie et Ian Brossat, ainsi que de l’avocate Me Laurence Roques, ancienne présidente de la Commission Libertés et Droits de l’Homme et Delphine Rouilleaut, directrice générale de France Terre d’Asile.

À partir de 15 heures, les Parisiens naturalisés fin 2023 étaient invités avec leurs proches à une cérémonie d’accueil en présence du maire (PS) de Paris Anne Hidalgo, de ses adjoints, des maires d’arrondissement et de « grands témoins incarnant la richesse et la diversité des Parisiens issus de l’immigration », est-il précisé dans le communiqué.

Les portes de la mairie ont été refermées brutalement suite à l’irruption de dizaines de migrants réclamant un logement…

 

Il serait peut-être temps d’envoyer des immigrés squatter le Conseil constitutionnel…

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3 commentaires

  1. Hidalgo est le genre d’immigrée qui une calamité pour la France : qu’elle retourne dans son pays d’origine !…

  2. Ç est vrai après tout: de quel droit mettre une limite quelconque à quoi que ce soit?
    Si certains peuvent être naturalisés, pourquoi pas les autres?
    La discrimination est flagrante….
    La mairie de Paris est manifestement fasciste.

  3. Accueillir ? Oui, à condition de respecter le pays d’accueil. Que ce soit Paris, Bruxelles et ailleurs, car ne sont que drogués dans la rue, des criminels en puissance criant l’horreur de l’occident, salopants nos rues et nos quartiers. Bien sur il y a des bonnes gens aussi, mais trop peu. On ne peut tous les mettre dans le même sac, mais les indésirables doivent pouvoir être rembarquer chez eux.

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