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Réforme du lycée professionnel (encore une qui montre l’inefficacité de la précédente !) décrétée cause nationale… avec bien sûr, côté bonne nouvelle, un saupoudrage entre 50 et 100 euros par semaine pour se mettre les stagiaires dans la poche. Acheter nos jeunes ne les rend pas dupes de la manipulation de nos gestionnaires gouvernementaux bien qu’au premier abord, cela les rend heureux de récupérer quelque subside.
Ils prendront conscience plus tard, que la « rémunération » engrangée est aumône attribuée par ceux qui prélèvent nos impôts et dépensent largement sous couvert de « bons prétextes », l’argent des autres, celui de nos compatriotes. La dette abyssale s’aggrave et nous rend de plus en plus dépendants des créanciers. Elle nous fait perdre notre souveraineté. L’emprunt ? Nos jeunes paieront avec le temps… le prix de l’inconséquence malfaisante de politicards malsains, gouvernant avec une vision limitée à l’instant présent.
Si vous voulez aider les jeunes, le bon sens demande de commencer par réformer l’école primaire en lui redonnant sa véritable vocation : apprendre aux enfants à lire, écrire et compter… car en entreprise, comment travailler sans savoir lire et comprendre les règles de sécurité ? Comment suivre un enseignement professionnel, artisanal ou poursuivre des études à quelque niveau que ce soit, sans base scolaire minimale ? Nous devons développer les intelligences et donner l’accès à chacun à l’enseignement adapté selon son mérite…
Pour qu’il n’y ait pas de décrochage dans l’apprentissage, le bon sens appelle nos jeunes à trouver ce qu’ils ont dans leurs cœurs, afin qu’ils découvrent des métiers passionnants et enrichissants. Chacun gagne à connaître sa vocation, pour vivre en harmonie avec lui-même, et en se l’appropriant, obtenir le meilleur de la vie par l’amour d’un métier. Un jeune doit postuler dans un lycée professionnel par choix d’une spécialité, d’une disposition particulière… Dans chacun des 500 territoires prévus par le Pacte que nous proposons, créons des entreprises, avec différents corps de métiers, de l’ouvrier spécialisé à l’ingénieur en passant par le technicien. Nous investirons alors hors secteur concurrentiel. Ces manufactures se caractériseraient par leur mission à produire dans le but d’assurer notre indépendance nationale et notre souveraineté !
Le décrochage scolaire pourrait aussi être compensé par un service national qui ouvrirait aux métiers par lesquels nos jeunes pourraient trouver une insertion dans notre société… Beaucoup de possibilités vertueuses pour leurs avenirs sont prêtes et ne nécessitent qu’une volonté politique au service du bien commun et de son prochain pour être mises en œuvre…
Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme
Australe
“dépensent largement sous couvert de « bons prétextes », l’argent des autres”
On nous parlent de baisser le train de vie de l’état et on ne voit rien venir.
Les subvention en sont un bon exemple afin de se faire élire on dépense l’argent publique au profit des ses “amis” politiques, j’en ai été témoin. De là, la difficulté d’un renouveau des hommes politique;
il n’y a pas de magouilles, il y des arrangement; pauvre France