Le gouvernement a annoncé son intention de réformer le congé parental. Le Monde a enquêté et a découvert la détresse des mères. Extraits :
"Mathilde Lamarque est "dans le néant". Elle a 30 ans, un enfant de 16 mois, est enceinte de 4 mois du deuxième. Elle a "toujours envisagé" de prendre un congé parental de trois ans à sa naissance. " Tout est remis en cause", s'alarme la jeune femme. […] Mme Lamarque et son mari ont fait leurs calculs. Hôtesse de caisse à Tourcoing (Nord) dans une grande surface de bricolage, elle gagne 900 euros net par mois. Son mari, qui travaille dans la même branche d'activité, 1 300 euros. "Si je m'arrête, on perd une centaine d'euros par mois, détaille Mme Lamarque. Si c'est lui, ce sera 450 euros en moins, c'est inenvisageable. Je ne sais pas comment on va faire."
Pourquoi ne pas recommencer à travailler au bout de dix-huit mois ou deux ans et faire garder son enfant en attendant son entrée en maternelle ? "Avec les horaires qu'on a dans le commerce, la crèche, ce n'est pas possible, répond-elle. Il faudra trouver une nounou qui accepte de prendre le plus grand en périscolaire. C'est très rare, et mon salaire y passera."
La jeune mère ne comprend pas où sera l'économie pour l'Etat. "L'aide de la CAF – caisse d'allocations familiales - pour l'assistante maternelle est de 460 euros, alors que l'indemnité de congé parental, c'est 390", dit-elle. La jeune femme est allée à la CAF pour obtenir plus de renseignements sur le futur dispositif, mais n'a eu "aucune réponse ". " Si je n'ai pas d'autre solution, j'arrêterai de travailler.""
Mme Lamarque est l'une des 200 personnes, des femmes pour la plupart, qui ont répondu à l'appel à témoignages lancé par Lemonde.fr sur les conséquences de la réforme du congé parental. "Honteux", "absurde", "maman inquiète", "désespérée", "une épée de Damoclès sur nos têtes", "du grand n'importe quoi"… Les mots utilisés témoignent du désarroi des personnes concernées."
Maria
Mon artisan boulanger qui emploie une vendeuse sous CDD à terme précis, en remplacement de sa vendeuse actuellement en congé parental,m’a expliqué que,lorsque ledit congé sera ramené à 18 mois,les”remplaçantes”retourneront pointer à Pole Emploi et percevront une indemnité beaucoup plus élevée que ce que reçoit une mère en congé parental.
L’intérêt financier de l’Etat serait donc de maintenir les mamans le plus longtemps possible auprès de leur enfant.
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jejomau
C’est une Loi LGBT. Absolument pas une loi faite pour “aider les parents” ou “faite en faveur des Français”.
Une Loi LGBT est foncièrement perverse : ici , il faut IMPOSER DE FORCE un congé au papa et un congé parental identique à la maman.
Le reste importe très peu.
Gouvernement émasculé = lois LGBT
CV
Il est clair que cette loi n’est pas faite pour faire des économies; c’est une loi idéologique, qui vise à forcer les mères à travailler, et si possible forcer les pères à pouponner (pour l’allaitement, on verra en fin de quinquennat)
DUPORT
Mais il y en a encore qui pensent que le gouvernement fait les choses dans l’intérêt général ou pour le bien du pays ?
Si la réponse est oui, je crois qu’ils sont définitivement irrécupérables.
Chant
Que font les députés? ???
Les femmes au gouvernement sont devenues des mecs????
Exterminator!!!!!!!!
Exupéry
Cette politique anti-familiale est plus que dégoutante, elle est infernale.
Combien de prélats ont protesté ?
Zabo
Quand pendrons-nous nos dirigeants au réverbères ?