Le militant islamiste algérien Saïd Arif, 46 ans, récemment libéré de prison, a disparu sans laisser de traces alors qu'il était assigné à domicile dans un hôtel millavois. Cet ancien militaire algérien avait été condamné en mai 2007 à dix ans de prison (mais libéré en décembre 2011) dans le procès dit « des filières tchétchènes ». Il était accusé d'avoir fomenté des attentats (déjoués) en 2001 et 2002 en France, en lien avec les groupes dits de La Courneuve-Romainville et de Francfort. Sa peine avait été assortie d'une interdiction définitive du territoire.
À sa libération, la Cour européenne des droits de l'Homme avait demandé à la France de ne pas l'expulser, en raison des risques de torture. Saïd Arif avait été placé en résidence surveillée. Mais depuis le 22 janvier, il ne s'est plus rendu au commissariat où il est tenu de pointer.
crockett
Je ne suis absolument pas surpris, à quoi pouvait bien s’attendre la justice de la part d’une personne comme lui ? . Que la justice redescende sur terre, on est pas au pays des bisounours .
chouan 12
condamné à 10 ans en 2007, relâché en 2011, si on compte bien ça fait 10 ans.!!!!!!!!!
Notre justice ne sait pas ce qu’est un terroriste. C’est normal lorsqu’on taxe les cathos qui manifestent en récitant le chapelet devant un théâtre, de fascistes ,il ne peut en être autrement. Heureusement que les juges et les procureurs ont fait de hautes études, sinon qu’est-ce que ça serait?
VD
Trois remarques :
1. Heureusement qu’on ne l’a pas expulsé ! Avec des risques de tortures (par qui ?)… Il va ainsi pouvoir continuer à tuer des innocents : c’est moins grave !
2. On va finir par être nuls en maths :-)
3. D’une certaine manière, il s’est expulsé tout seul…
Vive la justice aléatoire !
Ethos
Avec un vrai système ce personnage ne serait pas ressorti.
Avec moi jamais.
Exupéry
A quand, la Juste évaluation de ce type de “justice”…
Michèle
Tant pis pour ceux qui croiseront sa route!
Jean Theis
Lui, a bien raison, il a profité du système.
Mais les juges, ils deviennent assassins dans leurs actes.
Qui peut dire “j’ai confiance dans la justice de mon pays” ? Les idiots ou les membres de la caste.