La Croix rapporte plusieurs témoignages de salariés entrés en résistance contre l'obligation (on est loin du libre choix…) de venir travailler le dimanche. Vient ensuite le bilan de la loi Mallié :
"Si le comité parlementaire chargé de tirer le bilan de la loi, présidé par Pierre Méhaignerie – député UMP à la tête de la commission des affaires sociales à l’Assemblée – ne rendra pas son rapport avant l’été, la Direction générale du travail (DGT), elle, a déjà une comptabilité précise des évolutions.
Selon les derniers chiffres officiels du ministère du travail, en 2009, avant la loi, près de 28 % des salariés travaillaient le dimanche, dont 12 % de façon habituelle. Depuis, «trente Puce ont été créés, essentiellement en région parisienne, ce qui représente entre 10 000 et 15 000 salariés supplémentaires, 15 demandes ont été rejetées et une vingtaine de dossiers sont en instance», explique-t-on à la DGT. […] Au total, on compte désormais 575 communes touristiques et 39 communes ayant une ou plusieurs zones touristiques. Mais à Paris, où la Chambre de commerce avait plaidé pour une très large extension des sept zones touristiques existantes, la mairie a opté en juin 2010 pour le statu quo, calmant les ardeurs des militants du septième jour travaillé.
Pour autant, le match n’est pas clos. En avril 2010, la Commission des experts de l’Organisation internationale du travail, saisie par Force ouvrière, a épinglé la France, s’interrogeant sur « l’élargissement progressif des dérogations autorisées » et demandant au gouvernement de « spécifier de quelle manière est assurée l’existence d’un minimum de garanties pour les travailleurs employés le dimanche en termes de volontariat et de contreparties». Une question qui, selon certaines sources, pourrait bien être examinée de près lors de la 100e session de la Conférence internationale du travail, organisée en juin prochain."
trahoir
Radio Courtoisie, Identite : FN populisme, 6 mai 2011
http://rutube.ru/tracks/4402713.html?v=8f8a252955c0c6cc0b6452d564ae9581
Corso
C’est NON! …et devrait-on ajouter : pour tout le monde!
Il appartient à chacun de vérifier le travail imposé aux autres ce jour là.