D'une lectrice :
"Mère Gabrielle de Trudon et un petit groupe de moniales furent envoyées par l'Abbaye St Louis du Temple de Limon, en 1967, dans une ferme près de Jouques, en Provence, pour y fonder le monastère Notre Dame de Fidélité. Malgré sa grande discrétion, le rayonnement de mère Gabrielle fut tel que les vocations affluèrent et de nouvelles aventures monastiques l'attendaient.
En 1981, le monastère est érigé en abbaye dont Mère Gabrielle sera la première abbesse jusqu'en 2011.
En 1991, une nouvelle fondation voit le jour à Rosans dans les Hautes- Alpes et donnera naissance à l'Abbaye Notre-Dame de Miséricorde.
En 2005, à l'appel de Mgr N'Koué, Mère Gabrielle enverra quelques moniales au Bénin et s'y rendra souvent elle-même, ne ménageant pas sa peine. C'est ainsi que naîtra le monastère Notre-Dame de l'Écoute.
Profondément enracinée dans la grande Tradition bénédictine, Mère Gabrielle sut traverser, avec douceur et fermeté, la tempête qui secoua l'église. A l'instar du Cardinal Journet, elle savait que'' l'Église restera plus forte que le monde, elle a ses racines dans le ciel et ses feuilles dans la tempête"… D'ailleurs sa devise n'était-elle pas "In tempestate radicavi in alto"!
"Que les anges la conduisent au paradis, que les martyrs l'accueillent à son arrivée et l'introduisent dans la Jérusalem du Ciel!"
Les obsèques de Mère Gabrielle de Trudon seront célébrées mercredi 11 mars à 10h30 dans l'abbaye de Jouques dans l'intimité".
hidalgo
L’oeuvre de cette abbesse est simplement magnifique.
Une bonne raison de ne pas douter de la victoire finale du christianisme sur le mal, n’en déplaise au premier sinistre, le chimique, habité par les fumées de Satan.
Cela se lit sur le visage de cet individu avec éclat.
Pour lui répondre, il faudrait à la France 100 000 chrétiens de cette trempe.