RCF Isère avait cessé d’émettre en raison du sabotage de 3 sites d’émetteurs. Dans la lettre de Valeurs Actuelles, on apprend que :
Depuis le début du confinement, les renseignements ne cessent d’alerter l’opinion sur le retour de “l’action directe”. D’après certains officiers interrogés, la crise sanitaire aurait provoqué une vague de radicalisation au sein de l’ultragauche, qui souhaiterait aujourd’hui renouer avec des méthodes inspirées des groupes terroristes des années quatre-vingt, tels que les Brigades rouges italiennes. À l’heure du déconfinement, les pires craintes des forces de l’ordre semblent se vérifier. Alors qu’un stock de cocktails Molotov et de mortiers a été retrouvé dans un squat d’antifas en Seine-Saint-Denis dimanche dernier, la mouvance anarcho-gauchiste a revendiqué hier plusieurs attaques d’antennes relais… D’après l’Obs, « au moins une vingtaine d’opérations de sabotage » de ce type auraient été recensées au cours du dernier mois seulement. Dans un texte intitulé « Attaques coordonnées d’antennes relais », publié mardi soir sur diverses plates-formes d’extrême gauche, les auteurs ou complices de ces infractions ont enfin assumé leurs gestes : « Dans la nuit du 17 au 18 mai, nous avons incendié l’antenne relais de Haute-Jarrie. Au moins deux autres ont été attaquées simultanément autour de Grenoble. » Toutefois, comme à leur habitude, ces derniers se sont sentis obligés de justifier leurs exactions par de l’idéologie fumeuse. D’après eux, les antennes serviraient à accroître « le matraquage publicitaire » et « la communication de masse. » De plus, elles seraient également le symbole du « vide existentiel de l’époque », et défigureraient les paysages. De quoi justifier le terrorisme ? C’est à n’en point douter… À la fin de leur texte, les obscurs partisans du mouvement anarchiste libertaire prétendent également inscrire leur action dans une perspective plus globale de lutte contre l’État. « La pandémie en cours a permis et permettra encore à l’État de nous mettre, par le confinement, au mitard », peut-on lire dans la conclusion. « Alors que certaines personnes, avec leurs fumisteries de fenêtres, ont choisi son simulacre, d’autres ont continué à propager la révolte en taguant, brisant, collant, sabotant, incendiant… Car quels choix reste-t-il dans ce monde-ci ? » Au baril de poudre qu’était déjà la France des “gilets jaunes”, des banlieues, des soignants et des fonctionnaires, vient aujourd’hui s’ajouter la mèche de l’ultragauche. Après la crise, le gouvernement saura-t-il éteindre la flamme ?
AFumey
Si ces “joyeux lurons” sont cohérents, ce sont les antennes-télés des grandes chaines nationales qui doivent attirer leur attention. Sinon on est en droit de penser qu’ils sont au service des médias concernés et ne sont qu’un service de censure annexe contre.
DUPORT
Sauf que derrière tous ces casseurs on retrouve presque toujours… Le gouvernement !
gribouille
le fascisme n’est pas là ou on le désigne. Et rappelons encore que le fascisme fut un avatar de la gauche