Partager cet article

France : Société

Non seulement il n’y a pas tant de morts, mais en plus certains ne sont pas vraiment morts

Non seulement il n’y a pas tant de morts, mais en plus certains ne sont pas vraiment morts

En ce temps pascal, les résurrections s’accumulent…

Dans son bilan quotidien mardi, la Direction générale de la Santé (DGS) a fait état de nouveaux chiffres de décès dus au coronavirus en France, avec une importante correction : la veille, 342 décès avaient été comptés en trop dans les Ehpad et autres établissements médico-sociaux.

Tout le monde peut faire une erreur. Le problème, c’est l’accumulation.

La semaine dernière, les chiffres avaient également été surestimés deux fois : le 12 mai, 15 décès en trop avaient été dénombrés. Le 14 mai, c’était 14 décès qui étaient indûment comptabilisés.

L’ajustement se fait donc à la baisse, et non à la hausse, contrairement à ce que répètent certains depuis des semaines. Sans parler de la distinction entre les vrais décès du coronavirus et des personnes décédées morts de leur maladie (ou de vieillesse) tout en étant porteurs du virus.

Comme le relève Mediapart, certaines mairies comptent comme « décès à domicile » des décès qui sont en fait survenus en maison de retraite. Avec, pour conséquence, des oublis ou des mauvais calculs de taux de surmortalité.

L’hystérie se nourrit elle-même…

Partager cet article

2 commentaires

  1. Y aura-t-il un jour un décompte des pensionnaires des EHPAD qui ont été “apaisés” définitivement par une injection de Rivotril administrée en toute discrétion dans une chambre interdite aux accès d’un compagnon d’infortune ou de membres de la famille ?

  2. De nombreux décès sont des co-morbidités, le Covid arrive sur une personne gravement atteinte d’une maladie d’une maladie incurable, et la fait mourir quelques jours, semaines ou mois avant. Et très souvent des personnes âgées.
    D’un point de vue humain, on ne peut que souhaiter à chacun de vivre le plus longtemps (sous condition de liberté et de dignité …)
    D’un point de vue, social, politique, ce n’est pas une catastrophe pour le pays, par contre l’effondrement économique, la privation de libertés basiques pendant 2 mois ou plus, les coûts psychologiques cachés sont bien une catastrophe …, que ne connaîtront pas les pays qui n’ont pas confiné (Pays Bas, Suède, …)

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services