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France : Politique en France

Ségolène Royal doit s’expliquer sur ses finances

Un audit de la nouvelle région Aquitaine/Limousin/Poitou-Charentes (ALPC) révèle la "situation financière alarmante" de l'ex-Poitou-Charentes. Sans la fusion (des trois régions), "nous serions vraisemblablement en train de constater la faillite et la banqueroute de la région" Poitou-Charentes, a affirmé le président de la commission des Finances d'ALPC, Olivier Chartier (Les Républicains).

Retards de paiements s'élevant à 132 millions d'euros, épargne "quasi-nulle" avec un taux net de 0,05%, une sous-budgétisation, des dépenses qui ne sont pas inscrites au budget… Bref : une gestion socialiste avec l'argent des autres.

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10 commentaires

  1. Franchement, MJ, vous exagérez! La dette de 132 millions, c’est juste un problème informatique.
    http://lelab.europe1.fr/segolene-royal-explique-les-132-millions-deuros-dimpayes-de-la-region-poitou-charentes-par-un-probleme-informatique-2715037
    “رJionel Lospin ‏@JionelLospin
    Le logiciel de compta de Poitou-Charentes assume la responsabilité de cet échec, en tire les conclusions et se retire de la vie informatique”
    Mme Royal a toujours très bien géré la région Poitou-Charentes. La preuve en images
    https://pbs.twimg.com/media/CfgJwpCWwAALTEQ.jpg
    ;-)

  2. Hé bien, puisque l’ensemble fusionné semble très bien se porter si l’on en croit l’article en lien, les électeurs qui ont porté aux affaires l’équipe de gauche se réjouiront de voir leur impôts régionaux augmenter pour poursuivre cette exaltante aventure … et renflouer le “Poitou-Charente”.

  3. Ne me dites pas que l’élargissement de la région tombe à pic pour diluer la dette sur les voisins…

  4. C’est la “banqueroutitude” !

  5. Le Poitou-Charentess tout comme la Corrèze sont victimes de la “gabėgitude” des Bonnie and Clyde de la politique : un ex-couple d’incapables notoires qui coûte cher au contribuable…

  6. Au-delà de la région Poitou-Charentes et d’autres, la moitié des Département pourraient être en quasi faillite ! Exemples :
    Seine-Maritime – Bilan PS :
    http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/rouen/le-departement-de-seine-maritime-au-bord-de-la-faillite-846309.html
    Essonne – Bilan PS :
    http://edifice.over-blog.com/2016/01/france-le-departement-de-l-essonne-n-a-plus-les-moyens-de-payer-toutes-les-aides-sociales.html
    Mais aussi le Nord, le Pas-de-Calais (bienvenu chez les Chtis), la Creuse, la Corrèze, la Seine-Saint-Denis, …
    http://www.francetvinfo.fr/politique/reforme-territoriale/trois-questions-sur-les-departements-au-bord-de-la-faillite_1017327.html
    Et, parmi les multiples causes, ceux que les mêmes responsables nommaient « des chances pour la France » qui devaient rapporter beaucoup et continuent à arriver en nombre… mais coûtent en fait bien cher à notre pays pour des tas de raison. Ce ne sont pas ces personnes qui sont à pointer du doigt mais les (ir)responsables qui les ont incités à venir et les ont laissés rentrer.

  7. Dette des régions ou l’utilité du mariage de certaines régions ! Cela permet de faire payer celles trop “fourmi” pour le plus grand bonheur de celles “cigale” :
    http://i.f1g.fr/media/figaro/orig/2015/10/27/INF7fc4aec6-7bd9-11e5-a581-31c2ff583d8b-805×453.jpg
    Les euro-régions et l’objectif des redécoupages territoriaux en France :
    https://www.youtube.com/watch?v=3OzGE5Kjalk

  8. la “situation financière alarmante” de l’ex-Poitou-Charentes….
    Oui peut être, mais lors des élections régionales de fin 2015, les habitants de Poitou-Charentes ont continué de voter pour les socialistes !
    https://twitter.com/lemonde_pol/status/676165168393531393/photo/1?ref_src=twsrc^tfw
    C’est donc démocratiquement que ces Français acceptent d’être endettés si lourdement. Il ne serait donc pas fair-play de leur part de se mettre maintenant à critiquer les hausses de taxes. Ils ont ce qu’ils méritent.

  9. Dans un état en banqueroute il est assez logique que la région, gérée par l’une des concubines du harem du « banquerouteur mou », soit aussi en banqueroute…

  10. ….il n’y avait aucune raison que Ségolène Royal y échappe : Etat surendetté, régions endettées, départements surendettés, sécurité sociale surendettée, caisses de retraite déficitaires , SNCF déficitaire , AREVA en faillite, Edf endetté, communes sous tutelle….. Partout où la gestion socialiste passe, l’économie et les finances trépassent et le fiasco s’installe. L’arrivée au pouvoir de la gauche en 1981 a bloqué la direction de la France qui fonce vers le mur

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