L’écrivain Martin Mosebach, auteur de l’ouvrage Hérésie de l’informe. La liturgie romaine et son ennemi, accuse le pape François de se venger personnellement de son prédécesseur Benoît XVI avec Traditionis Custodes. François n’a pas pardonné à Benoît, a poursuivi Mosebach, “que son livre sur le sacerdoce au début de 2020 a influencé l’issue du synode amazonien et a ruiné l’abolition du célibat qui était en fait souhaitée“. Cela a mis le Pape très en colère :
Maintenant, il lui a rendu la pareille en prenant des mesures contre l’ancienne messe, la liturgie, qui était une affaire qui tenait à cœur à Benoît et qu’il avait expressément réhabilitée.
Si le pape François porte la main sur la tradition, il ne peut plus obliger les croyants à obéir. Surtout, il attaque le fondement sur lequel repose la papauté. Le rite tridentin n’est pas tombé du ciel, mais a grandi historiquement.