Lu sur ce site homosualiste :
"En 2010, dans la région Ile-de-France, il y a eu 80 fois plus de contaminations chez les gays que chez les hétérosexuels. L’épidémie reste donc très active parmi les homosexuels masculins. C’est ce qu’ont voulu souligner les orateurs lors de la présentation des chiffres annuels de l’épidémie, au ministère de la Santé, mardi 29 novembre."