Suite à un vote au Sénat aujourd'hui, les responsables et experts d'autorités sanitaires auront désormais l'obligation de déclarer leurs liens avec l'industrie pharmaceutique. Ils seront tenus de déposer, et d'actualiser, une déclaration publique d'intérêts, notant leurs liens avec l'industrie pharmaceutique dans les cinq dernières années. Ils ne pourront siéger dans les instances dont ils sont membres lorsque le débat portera sur les entreprises avec lesquelles ils sont liés.
Le Sénat a non seulement approuvé ces dispositions, mais il a en outre interdit tout lien d'intérêt à quatre dirigeants d'organismes de la santé: la Haute autorité de santé, l'Agence de sécurité sanitaire, l'Institut de la recherche médicale (Inserm) et l'Institut national du cancer.
Lors des discussions autour de la loi de bioéthique, l'influence de l'industrie du médicament avait été dénoncée à plusieurs reprises, notamment par Jean-Marc Nesme.
Avoc
On aimerait aussi connaître les liens entre certains politiques et les industries pharmaceutiques ou assimilées (politiques et fabricants des pilules ou de préservatifs, notamment).
La promotion de la contraception par certains politiques n’est pas toujours étrangère à de bons retours financiers directs ou indirects…
Sancenay
Comme quoi ce n’était en rien la catastrophe annoncée que les prétendus “humanistes” comme Monsieur Larcher , broyeurs d’embryons, et autres insolents bradeurs de notre civilisation chrétienne en passant notamment par la tentative de suppression lundi Pentecôte de Monsieur Raffarin se voient renvoyés à leur foyers, voire depuis le retentissant de la CEJ donnant satut juridique à l’empbryon, aux “poubelles de l’histoire”.
Le sauvetage de notre pays n’a nul besoin de ces çeolacanthes naviguant en eau trouble , il a seulement soif d’humanité et de Vie.
Merci en effet aux parlementaires assez nombreux, Dieu merci, et de quelque bord qu’ils fûssent, qui n’étaient pas ,sur ce thème essentiel en retard d’un guerre.