Sonia Mabrouk aime la messe en latin : France 2 transpire
Par Michel Janva
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Haizkolari
Je ne partage pas cet attachement à la langue de l’empire romain.
1°) Les paroles de la messe me son précieuses, et j’aime les entendre pleinement, explicitement, dans ma langue.
2°) Une des grandes qualités du christianisme est de ne pas être une religion à mystères, une religion d’initiations, de codes cachés. Ce n’est pas la franc-maçonnerie, le culte d’Isis, ou un roman de dan Brown. Pour parler comme les informaticiens, c’est une religion à code source ouvert.
Donc dans la langue des fidèles, pas mystérieuse, parce que donnée gratuitement à tous, même à ceux qui ne comprennent pas une langue ancienne, c’est bien.
3°) Le latin n’était pas la langue du Christ et de ses disciples. Ils parlaient araméen, peut être grec. Surtout, Jésus a prononcé la première Scene dans la langue locale, pas dans celle de l’occupant.
4°) Le latin a surtout été la langue d’un empire qui a persécuté les chrétiens.
Sinon, si vous tenez à ce que la messe soit mystérieuse et incompréhensible, venez l’écouter en basque !
Au moins ce sera la langue d’un peuple qui n’a jamais persécuté la Foi.
christianlair
Votre commentaire est peut-être le reflet de votre opinion , mais n’oubliez pas que le latin a été et reste , Dieu merci , la langue universelle de l’église ! Et le fait que cette langue est précieuse c’est que c’est une langue morte , donc qui ne change plus ! De plus , l’enseignement étant en France gratuit et obligatoire , suivre des cours de latin est tout-à -fait utile pour notre connaissance de la langue française !
VIVANT
A vous lire on croit que vous n’avez ni parent, ni aïeux. Comment vous ont été transmises les paroles du Christ ? Par le latin. Votre langue maternelle n’existait pas. La messe, c’est la parole eucharistiée, c’est un mystère à assimiler et non pas à comprendre de bout en bout. La messe c’est une nourriture substantielle. Il y a l’Eglise catholique et sa messe, il n’y a pas le christianisme. ‘La langue de l’occupant’ : INRI, centurion, Pilate sont dans la Parole de Dieu transmise et interprétée. Le latin est la langue de l’Eglise, tout simplement. Encore aujourd’hui, une seule Bible est la base, celle de saint Jérôme en latin. Les actes du Saint Siège sont stockés en latin, version officielle. Vous êtes paumé mon garçon. Qu’allez-vous transmettre avec de telles ritournelles ? Le latin est la langue de l’Eglise. J’aime la messe en vernaculaire mais je sais que la messe de rite extraordinaire fait partie du patrimoine inamissible de l’Eglise de Dieu.
Philippe.defranck
Merci. C’est votre avis.
Est-il possible d’aimer le latin, langue de l’empire qui a persécuté les Chrétiens, comme on aime la Croix, instrument du supplice accepté par Jésus pour la résurrection ? J’aime le latin, si riche et divers.
Je n’en fais pas une idole mais suis fatigué des arguments des vieux franchouillards de gauche latinophobes. Plus je les vois, plus je les entends, plus j’ai envie d’étudier et apprendre le latin.
J’aimerais cependant beaucoup écouter la messe en basque, merci pour la suggestion !
christianlair
La Messe , dite en latin , est la même dans le monde entier , et c’est ce qui lui donne une force extraordinaire ! La langue ” vernaculaire ” n’est comprise que par les gens du ” cru ” ! J’ai eu l’occasion d’aller à l’étranger , et j’ai regretté de n’avoir pu suivre la Messe , ne parlant que très peu la langue de ce pays ! Il ne faut pas oublier que même le concile V2 n’a jamais abrogé le latin ! Ce qui était une tolérance à la langue vernaculaire est devenu , par l’ignorance et l’entêtement du bas-clergé , une quasi-obligation d’écouter ces traductions si plates des textes de la Messe ….. On peut constater les ravages opérés par tout cela au vu de l’assistance de plus en plus clairsemée des fidèles à la messe de Paul VI !…………
FabienO
Rappelons que Christophe Dechavanne, avant de devenir la loque humaine et médiatique qu’il est aujourd’hui, accueillait, sur une chaîne de télévision de forte audience, à une de grande écoute, un négationniste belge qui prétendait que les juifs, dans les camps de concentration, étaient morts du typhus, et non massacrés par les nazis (protestants). Tout ça pour faire de l’audience.
philippe paternot
sonia mabrouk n’a pas le droit d’aimer ce qu’elle veut, merci à cette dame d’être ce qu’elle est!
dechavannes n’a que la bouillie de la doxa à la bouche, pauvre journaleux qui tente de revenir à la télé