Dominique Sopo, président de SOS-Racisme (association raciste anti-française), a annoncé que son association saisissait le Conseil d’Etat avec un référé liberté, au lendemain des déclarations du ministre de l’Intérieur Nicolas Sarkozy qui a demandé aux préfets d’expulser les étrangers condamnés pour des violences urbaines. Dans cette procédure, le Conseil d’Etat a 48 heures pour se prononcer.
Dominique Sopo a justifié les violences par la "ghettoïsation" de certains quartiers et la "discrimination massive" dont sont victimes les habitants de ces quartiers, notamment en terme d’emploi et de logement. "Il y a un effet de frustration, d’humiliation, de ressentiment" qui explique les violences. Le tour de passe-passe est joué, dans la plus pure logique de désinformation, les casseurs sont les victimes, les victimes sont les coupables !
Mais nous savions déjà que l’extrême-gauche soutient l’émeute, laquelle ne serait qu’un épisode de la lutte des classes, chère à Marx.
Frament André
Pourrais-je reprendre votre article sur SOS racisme pour le diffuser sur le site (nouveau) de l’Action Familiale et Scolaire (controverses.com) en donnant la référence du votre.
En vous remerciant par avance de la bienveillance avec laquelle vous donnerez suite à ma requête
Michel Janva
Bien entendu, sous réserve de mettre un lien vers le Salon Beige…