Le 25 janvier, le Sénat a repoussé la proposition de loi visant à légaliser l'euthanasie, par 170 voix contre 142 seulement. La mobilisation doit se poursuivre pour inviter les députés et les sénateurs à adhérer à l’Entente parlementaire visant à refuser l'euthanasie et à développer un accès aux soins palliatifs pour tous.
Grâce aux nombreuses interventions directes auprès des députés et sénateurs, l'Entente parlementaire a réuni en quelques jours plus d'une centaine de signatures. La liste sera publiée par Liberté politique. En attendant, il est opportun d'écrire à vos élus pour leur demander d'adhérer, car cette proposition reviendra en 2012.
Demandez à votre député et aux sénateurs de votre département d’adhérer au Manifeste de l’Entente parlementaire visant à refuser l'euthanasie et à développer un accès aux soins palliatifs pour tous.
Sancenay
Pour ma modeste part, je répondrai volontiers aux sollicitations politiques de tout parlementaire, de quelque bord qu’elles puissent venir, pour peu qu’elle exposent clairement comme le sénateur Lardeux l’a parfaitement indiqué lors du vrai-faux débat récent au Sénat sur l’euthanasie, que la la loi Léonetti de 2005 ouvrait déjà (ndlr: malicieusement) la porte à l’euthanasie.
Il faut donc impérativement revenir sur cette loi qui n’a ” pas freiné la demande de mort” comme l’a reconnu également Monsieur Nesme,contrairement à ce qu’il avait cru lui-même être en mesure d’espérer, mettant de ce fait bien hâtivement, hélas, dès 2006, son “entente parlementaire” en sommeil alors que les thuriféraires de la mort gratuite à tous les stades de la vie se déchaînaient.
Le sort de notre civilisation et peut-être de l’humanité doit-il basculer parce qu’un prétendu et insultant “facilitateur” veut imposer à toute force et en toute urgence à un peuple vieillissant et en état de faiblesse des recettes ultra -violentes qui le mènent à sa fin ?
Quelles sont donc les obscures raisons de cette fausse compassion qui amènent ces champions de la tolérance à sens unique à insulter et priver de parole les rares courageux parlementaires qui osent dénoncer l’imposture ( cf ce dernier débat sur l’euthanasie, il est édifiant)
L’histoire jugera tôt ou tard très sévèrement qu’il s’agit, tout comme la loi sur l’avortement de ce que l’on pourrait appeler: un abus de faiblesse démocratique par absence de débat authentique , par une propagande honteuse et unilatérale “du journal” , puisque, en effet tout comme en union soviétique jadis, nous n’avons plus qu’une seule voix exprimable sur un tel suje d’anthropologie !
Cet acharnement est d’autant plus scandaleux qu’il est le fait d’un médecin dont on sait que règle de base de la méthode commençe très naturellement par l’écoute du patient .
Or, nul ne peut ignorer que la France et l’Europe sont malades, malades d’une démographie vieillissante qui les prive de la dynamique naturelle qu’offrirait une population jeune pour faire face aux défis redoutables qui la guettent.
Selon le fameux débat du Sénat sur l’eutahnasie ce serait encore, tenez -vous bien le culte de la “libre volonté” né de la “révolution” (sic) qui justifierait cet acharnement thérapeutique, si j’ose dire infligé, par le Docteur Léonetti et ses amis à notre société!
Mais , sans entrer dans le débat purement politique- la politique peut-elle tout, d’ailleurs?- quel historien authentique ne se souvient des fraccassantes limites de ce culte qui a couché Robespierre lui-même sur l’échaffaud ?
Ici à deux pas de Cluny, comme le rappelait hier Monsieur le Préfet, on aurait mauvaise grâce à ne pas avoir conscience de cette réalité hsitorique.
Faudra-t-il voir rayé notre si beau pays de la carte du monde pour convenir que l’utopique recette a depuis belle lurette fait long feu et que derrière son invocation se cachaient à grand peine , comme dans d’autres domaines , très actuels et si peu édifiants de la santé publique, bien d’autres considérations éminemment plus terre à terre .
Nous n’avons plus les moyens d’entretenir cette mascarade démocratique bidonnée à de tels cultes ringards et sectaires qui ont produit depuis leur avènement tant de malheurs, tant de violence dans les familles éclatées, décomposées, recomposées, dans notre jeunesse si souvent abandonnée à elle-même par tant d’irresponsables et authentqiues coupables qui voulaient en effet abusivement profiter de leur “libre volonté” et qui , eux-mêmes se préparent une bien triste vieillesse en dépit , voire à cause des “soins du Docteur Léonetti!
Il suffit d’ouvrir chaque jour le “journal”
pour avoir la nausée de ce spectacle morbide de ces enfants désormais qui se défénestrent bien avant l’adolescence, car , écoeurés par les adultes qu’ils côtoient et dont les comportements absurdes leur a définitivement enlevé le goût de la vie .
Eux n’auront pas besoin de vos services, Mosnieur Léonetti , et , si elle était librement et sérieusement consultée, la majorité des français non plus !
Dès lors , soyez raisonnable, Monsieur Léonetti, revenez au sens de votre belle profession initiale , écoutez le patient, ne vous acharnez pas , il veut guérir et il peut guérir.
Vous n’aurez plus envie,vous-même de le traiter vainement “d’obscurantiste”, ne vous en porterez que mieux, c’est tout le mal que nous vous souhaitons.
vignes geneviève et michel
Dieu vomit les tièdes ! il n’y a pas de justes lois qui puissent prétendre décider de la fin de nos vies ! au nom de qui ou de quoi ? le confort de ceux qui ne veulent rien faire pour ceux qui souffrent ? accompagnons nos souffrants comme nous aimerions l’être, entourons les ! la problèmatique de l’euthanasie ne se posera plus, nous avons les moyens de soulager, d’aider, d’aimer ! une loi ne pourra jamais remplacer notre bonne volonté ! geneviève vignes