Souveraineté du bon sens par Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme

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Nous devons en finir avec le despotisme du régime oligarchique technocratique, diversitaire et diviseur, tenant de l’expression du politiquement convenu et adepte du mépris du peuple. Les malfaisants œuvrent sans relâche à nous déraciner en nous privant de notre libre-arbitre et tentent de nous enfermer dans une prison psychologique en nous appauvrissant et en nous réduisant à la mendicité. La violence des gestionnaires gouvernementaux, ces derniers jours, mais aussi la haine à laquelle ils acculent les Français les uns envers les autres s’avère d’autant plus diabolique que la division leur permet avec cynisme et perversité de manœuvrer pour imposer leur dictature.

L’autoritarisme ne pourra cesser qu’avec une prise de conscience individuelle et collective, en dehors des partisans de la soumission internationaliste et des fanatiques d’une révolution meurtrière et sanglante, haineux de la France et des Français. Le stade des menaces envers la liberté de conscience ou d’expression n’est plus d’actualité… La dictature propagandiste réprime et mate en muselant toute pensée ou voix rebelle. En dehors du dogme politiquement correct, l’affirmation non conforme vous crée dissident, donc infréquentable et vous positionne en paria de la société.

La république ne répond pas aux attentes légitimes des Français qui veulent vivre en sécurité avec la garantie d’une justice équitable, défendant les victimes et protégeant la société. La France éternelle garantie le respect de la dignité humaine, la prédilection légitime pour les plus pauvres et les plus défavorisés, donne à tous l’accès à la santé, œuvre pour que nos compatriotes bénéficient de la possibilité d’acheter un logement décent, jouissent d’un travail leur assurant un juste salaire permettant une vie de famille à l’abri du besoin et de justes moments de loisirs. En faisant le choix d’une vraie démocratie, proche de nos compatriotes, le Pacte que je propose donne la parole à tous, offre une réelle souveraineté de proximité par le peuple grâce à la subsidiarité territoriale.

Pour retrouver notre liberté, il s’avère nécessaire que celle-ci soit garantie par une souveraineté arbitrale indépendante, pour le peuple, non partisane et non redevable directement ou indirectement à un tiers. Les modes de contrôles actuels nuisent à l’indépendance, l’équité, la justice… obligent à une loyauté de leurs acteurs envers ceux qui les positionnent (même s’ils s’en défendent). Les arbitrages (partisans) du régime actuel se révèlent chaque jour incompatibles avec le bien commun.

La souveraineté pratiquée au nom du peuple doit s’exercer par des collèges de représentants élus avec des attributions sectorielles généralistes. Collège des Familles, Collège des Territoires, Collège des Travailleurs, et Collège National pour les autres domaines. Par exemple, le Collège des Travailleurs aurait des représentations par secteur laborieux : ouvriers et salariés, professions libérales, agriculteurs et éleveurs, commerçants, artisans… Les textes s’élaboreraient par consensus avant d’être votés et promulgués. La souveraineté arbitrale en cas de décalage entre les choix et le peuple du secteur du collège pourrait dissoudre le collège ou directement employer une procédure référendaire…

La souveraineté du bon sens pour le peuple, par le peuple et au nom du peuple !
Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme