Dans une tribune, les membres du jury de ce défunt concours dénoncent sa réforme, qui voit la suppression des épreuves de latin et de grec :
"Tout au plus les candidats auront-ils à se fendre de quelques bribes de versions, comme nos collègues de lettres modernes traduisent parfois un peu d'anglais. Fi des explications de Virgile, Horace, Sénèque, Cicéron, Euripide, Eschyle, Platon… Place au contrôle de l'éthique du fonctionnaire et à l'épreuve reine : le commentaire d'une photocopie de manuel scolaire… […] d'un trait de plume des disciplines entières disparaissent des écrans de contrôle, sans le début du commencement d'une justification."