Jeanne Smits rapporte l'intervention du cardinal Stanisław Ryłko, président du Conseil pontifical pour les laïcs, au synode :
"Il est dit que l’Eglise devrait être comme « un hôpital de campagne », mais il n’y en a pas beaucoup dans cette situation qui veulent être obligés d’aller à l’hôpital.
St. Augustin demande à ceux qui veulent de l’aide mais ne veulent pas se convertir : « Pourquoi nous cherchez-vous ? »
C’est ainsi que se comportent certains baptisés qui sont en situation irrégulière, mais ne veulent pas recevoir le sacrement de la pénitence.
Ainsi, nous avons non seulement une crise du mariage et de la famille, mais aussi une crise de la foi.
2 Tm 4,2-5 dit : « Proclame la parole, insiste à temps et à contretemps, réfute, menace, exhorte, avec une patience inlassable et le souci d’instruire. Car un temps viendra où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine, mais au contraire, au gré de leurs passions et l’oreille les démangeant, ils se donneront des maîtres en quantité et détourneront l’oreille de la vérité pour se tourner vers les fables. Pour toi, sois prudent en tout, supporte l’épreuve, fais oeuvre de prédicateur de l’Evangile, acquitte-toi à la perfection de ton ministère ! »"